Cold War

  • Grande-Bretagne Cold War (plus)
Bande-annonce 2

Résumés(1)

This sweeping, delirious romance begins in the Polish countryside, where Wiktor (Tomasz Kot), a musician on a state-sponsored mission to collect folk songs, discovers a captivating young singer named Zula (Joanna Kulig, in a performance for the ages). Over the next fifteen years, their turbulent relationship will play out in stolen moments between two worlds: the jazz clubs of decadent bohemian Paris, to which he defects, and the corrupt, repressive Communist Bloc, where she remains—universes bridged by their passion for music and for each other. Photographed in luscious monochrome and suffused with the melancholy of the simple folk song that provides a motif for the couple’s fateful affair, Paweł Pawlikowski’s timeless story—inspired by that of his own parents—is a heart-stoppingly grand vision of star-crossed love caught up in the tide of history. (Criterion)

(plus)

Vidéo (5)

Bande-annonce 2

Critiques (12)

Filmmaniak 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Visuellement, Pawlikowski excelle encore plus que dans Ida, lauréat d'un Oscar, dont il a reproduit le format d'image en noir et blanc et, au moins dans la première demi-heure, son film est capable d'enchanter par sa réalisation prédatrice et dynamique et par l'histoire d'une chorale de chants et de danses folkloriques qui doit se soumettre aux volontés du régime. L'intrigue principale qui suit, un mélodrame sur deux protagonistes antipathiques qui aimeraient beaucoup être ensemble, mais en même temps font tout pour qu'ils ne puissent pas être ensemble, fatigue cependant plus vite qu'un chant tyrolien. ()

POMO 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Un film aux prétentions de mélodrame arty dans lequel les deux protagonistes choisissent de façon répétée et DÉLIBÉRÉE d’autres options de vie que d’être ensemble, pour pouvoir ensuite le regretter. Et c'est ainsi qu'au fil des ans, ils se retrouvent occasionnellement pour se demander comment ça va. En plus, ce film sans émotion semble ne PAS VOULOIR que vous viviez leur amour et n’a PAS BESOIN que vous compreniez toutes leurs décisions. Un mélodrame aussi noir et blanc que sa jolie composition picturale au format 4:3, pour laquelle j’ajoute une troisième étoile. Un film aussi « cold » que son nom. [Cannes] ()

Annonces

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français La combinaison France–Pologne m’enchante à chaque fois, dans tous les contextes et en toutes circonstances. Et Cold War est, en un mot, sublime. Minimaliste dans son intrigue, riche dans son imagerie, précis dans le jeu de ses acteurs, brillant dans sa réalisation. La dernière minute, je pourrais la regarder des heures durant. Un amour en Pologne, un amour à Paris, à une période dure pendant laquelle la plus petite chose demande le plus grand des efforts. Tout aussi époustouflante que poignante, Joanna Kulig est capable de jouer une pute et une femme fatale et même les deux à la fois. Cannes a décidément l’art d’apprécier les films européens d’exception à leur juste valeur. Et revoici Pawlikowski en lice pour un Oscar ! ()

Goldbeater 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Un mélodrame visuellement agréable sur une relation amoureuse fatale entre deux individus à l’ère de la Pologne de Staline. C’est joliment filmé, mais le scénario manque de clarté quant à la motivation des deux personnages principaux ; pourquoi tous deux n’arrêtent pas de dire qu’ils s’aiment énormément, alors que dès qu’ils passent un moment ensemble, ils ne peuvent plus se supporter et font tout pour s’éloigner l’un de l’autre ? On dirait que cette « destinée défavorable », ils l’ont un peu cherchée ! Ça m’a fait penser à Quelque chose dans l’homme, un vieux drame finlandais où là aussi, dans un laps de temps de quelques années, une drôle de romance se déroulait entre les deux protagonistes qui étaient, pour ainsi dire de façon tragique, faits l’un pour l‘autre. ()

Lima 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais I spent my entire youth in communist ugliness, but today I look at it like an exotic animal in a zoo somewhere. Foldyna and Kateřina Konečná probably shed a nostalgic tear at the sight of the Soviets honouring Stalin, but fortunately for the rest of us, our memories have been irretrievably swept away by time. The film thankfully doesn't get too caught up in politics and is aesthetically beautiful, I haven't seen such stunning black and white cinematography in a long time, it's a treasure these days. The love story is simple but touching, the protagonist reminded me of Léa Seydoux, charismatic and beautiful. And she sang beautifully, whether Polish folk songs, which also have something to them, or chanson. The ending is all the more crushing in its austerity, without any cheap tear-jerking. ()

Photos (26)