Les Enquêtes du Département V : Dossier 64

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Bande-annonce 3

Résumés(1)

Alors que le Département V est sous tension avant le départ annoncé d'Assad, partenaire de l'inspecteur Carl Mørck, ces derniers se lancent dans une nouvelle enquête qui pourrait bien être leur dernière. Suite à la découverte de trois squelettes cachés derrière la tapisserie d'un vieil appartement, les deux enquêteurs et leur assistante Rose doivent exhumer une macabre affaire datant des années 1950 : sur la petite île de Sprogø, des femmes étaient internées et stérilisées de force sous la direction du docteur Curt Wad... (Orange Cinéma Séries)

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Bande-annonce 3

Critiques (7)

POMO 

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français Le meilleur ou le deuxième meilleur de la série. Renforcé par un sujet sensible, très actuel en Europe, que je ne souhaite pas associer (dans le film, il apparaîtra comme une intrigue qui prend entièrement son élan et lui confère de la gravité supplémentaire). ()

Filmmaniak 

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français Je considère les précédents épisodes de la série comme des adaptations interchangeables, légèrement au-dessus de la moyenne, de livres beaucoup plus complexes, dont l'intrigue criminelle souffrait généralement du fait que le spectateur avait toujours un pas en avance sur le duo d'enquêteurs principaux et qui, en dehors de l'enquête standard sur une ancienne affaire, n'avaient jamais essayé d'aller plus loin, simplement de bons films de genre. Cela change maintenant avec le quatrième volet, de loin le meilleur de la série, dont l'histoire commence par une découverte de trois anciens cadavres et une enquête sur leur meurtrier, puis plonge dans des dimensions inconnues où des complots basés sur des événements réels, des parallèles avec le mouvement MeToo, le thème de l'égalité dans un monde multiculturel et la critique de la gestion institutionnelle des « femmes perdues » jouent un rôle majeur. Les personnages connaissent enfin une évolution significative, suffisamment importante pour que Carl, toujours sombre et asocial, ne soit plus le même grognon. L'histoire a une profondeur inattendue et des situations brillamment conçues et pointues, le récit captivant a un rythme croissant et la seule critique que l'on puisse formuler est que parfois la réalisation semble un peu routinière, mais sinon elle est absolument maîtrisée. ()

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claudel 

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français Dans la série de livres, je me suis arrêté pour le moment à Selfies et justement, Dossier 64 m’apparaît comme la dernière partie réussie, après quoi la qualité n’a fait que se détériorer. Dans les films, par contre, je vois les choses différemment. Après le désastreux Délivrance, le quatrième volet est à mon goût. C’est filmé habilement de sorte que le spectateur reste constamment sous tension. D’après ce que j’ai lu, Lie Kaas aurait arrêté et se verrait remplacer par Thomsen. Et c’est dommage, parce que je m’étais habitué à lui en tant qu’incarnation du personnage de Carl Mørck. ()

Marigold 

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anglais It took three films for Department Q to find its film identity. After the contradictory and screenplay clumsiness of the previous films, this is finally a decent combination of a whodunnit detective story and a social thriller, which is driven forward by its two central characters. It has a strong, great pace and only a few moments of partial clumsiness. In addition, the involvement of the current social storyline is very, very skillful. It’s a Scandinavian Noir champion. ()

EvilPhoEniX 

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anglais The Scandinavians are back with their fourth adaptation of a bestselling novel by Jussi Adler-Olsen, starring the excellent duo of Nikolaj Lie Kaas and Fares Fares. Fortunately, you don’t need to be familiar with the previous installments to enjoy this one. Twelve years later, three mummified bodies are found behind a wall in an apartment, sitting at a table with their entrails on the table, but the case gets much bigger and more complex. Very suspenseful, well acted, strong filmmaking, the twists and turns at the end are impressive and the atmosphere is properly bleak. This is what the Scandinavians are really good at, and when good material is available it goes without saying. 80% ()

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