Burning

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Bande-annonce 1

Résumés(1)

Alors qu’il effectue une livraison à l’entrée d’une galerie commerciale de Séoul, Jong-su, grand garçon perdu et solitaire, qui se rêve écrivain mais vit chichement d’un salaire de coursier, recroise par hasard Hae-mi, son ancienne voisine d’enfance. La jeune femme, qu’il peine d’abord à reconnaître, se montre entreprenante. Elle l’invite rapidement dans le lit de son minuscule studio, non sans l’avoir auparavant chargé de nourrir son chat pendant le voyage qu’elle prévoit de faire en Afrique. Sous le charme, Jong-su s’acquitte de sa mission de bonne grâce, bien que le chat semble introuvable. Mais à son retour, Hae-mi est accompagnée de Ben, dandy désinvolte, fortuné et sûr de lui, qu’elle a rencontré à Nairobi. Entre les trois jeunes gens, qui forment désormais un singulier triangle amoureux, les sentiments et les intentions sont troubles. Soudain, Hae-mi disparaît sans laisser de traces... (Arte)

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Critiques (3)

POMO 

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français Une narration très lente et laborieuse, mais avec une atmosphère agréablement mystérieuse et un beau dynamisme visuel "cinématographique". Surtout en termes de manière intimiste dont elle est abordée, et comment elle finit par se confronter anti-genre avec l'histoire. ()

lamps 

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anglais Burning is very far from Hollywood mainstream. It’s not the kind of film you’d want to watch every day, but it’s one with an undisputable cinephile aura that patiently leads the attention of the viewer in an unexpected way, and with social insight, too; it will reward you if you stick till the end. You won’t feel very well after watching it, but the world is not always a beautiful and romantic place, and this film will show you that in a very stimulating and sensitive way . ()

Goldbeater 

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français L’intrigue se dévoile de façon languissante et se scinde en une multitude de branches qui peuvent être ou ne pas être en lien direct avec la ligne centrale. Ce qui semble être un drame lent et bizarre dans la première partie devient un thriller lent et bizarre dans la deuxième. Quant au dénouement, il nous pose la question, pendant un bon moment après la séance, de ce qui s’est réellement passé dans le film. Et je dois dire que, même après plusieurs heures, je n’ai toujours pas de réponse claire. Du côté de la réalisation et du jeu d’acteurs, c’est un sans-faute. [KVIFF 2018] ()