Résumés(1)

This psychological thriller reacts to technology’s ever more frequent intrusions into our privacy. Artificial intelligence is supposed to serve humankind. Only time will tell if it will. But what if it slips out of our control and begins to function autonomously? A real-estate developer provides a young couple with a model home in the beta-testing phase, outfitted with a computerized security and household-management system. The husband is the system’s programmer. His wife is a sculptor, moulding statues out of clay. They both long to settle down in a peaceful home. But with time, they learn that their hi-tech household is inhabited by someone else – an AI that serves as a faithful servant, a partner…and a dangerous master. (Art Film Fest)

(plus)

Vidéo (3)

Bande-annonce 1

Critiques (4)

Goldbeater 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Le dépeindre sur l'affiche comme un thriller technologique sérieux en ajoutant la mention « Fait par les créateurs de Snowboarders et de The Rafters » témoigne de deux possibilités. Soit les producteurs ont un sens de l’humour très particulier, soit ils ignorent tout des attentes du public, car il faudrait être maso pour vouloir voir un tel film. Mais parlons un peu de la chose en question… Je reconnais volontiers toute tentative pertinente d’enrichir le cinéma tchécoslovaque par des œuvres de genres plus obscurs, mais pas comme ça ! Ici, les protagonistes vivent des événements vraiment bizarres et préoccupants, mais pour des raisons mystérieuses, ils les contournent totalement et ne s’en soucient plus (« L’intelligence artificielle vient de sauter ma femme dans la baignoire, mais tout va bien. »). Dans l’ensemble, les personnages sont juste là pour décorer, histoire qu’il y ait quelqu’un dans le film et qu’on puisse avancer dans le récit, mais ils ont des personnalités si superficielles que c’en devient ridicule. En particulier, le dénouement basé sur la psychologie de Zuzana, l’héroïne principale, ne fonctionne pas du tout. L’amie de ce personnage est absolument aberrante, Vojta Dyk est juste un appât à femelles et Ondřej Malý recopie le rôle du dangereux taré qu’il joue dans tous les films. Et le fait que le scénario soit vraiment pauvre et n’ait pas de sens dès qu’on y réfléchit un peu ? Pas grave, il suffit que l’héroïne se dénude sans arrêt et qu’elle flirte avec la maison parlante, et c’est réglé ! Le thème s’efforce d’être hypermoderne, pourtant on a l’impression d’être coincés au siècle dernier (en regardant, je me suis rappelé Génération Proteus, un film d’il y a une quarantaine d’années très similaire dans ses principes, mais nettement – nettement ! – meilleur). Důvěrný nepřítel (« L’Ennemi intime ») ne marque pas les mémoires, mais ce que je ne risque pas d’oublier, c’est le placement de produit absolument outrageant. Les cinéastes tchèques font bande à part en matière de placement de produits tant ils en abusent jusqu’à nous donner la migraine et qu’un enchaînement de films tchèques équivaudrait à une espèce de page de pubs interminable. De Důvěrný nepřítel, j’ai donc retiré deux choses : Vojta Dyk porte un costume de chez Bandi et, dans ses moments d’exaspération profonde, surfe sur le site du mégastore mall.cz. Grotesque, totalement grotesque. ()

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Gabriela Marcinková mérite cinq belles étoiles après la torture qu’elle a endurée et m’a fait endurer dans Tajné životy (Secret Lives) avec Peter Kočiš et pour le fait que je pourrais la regarder des heures durant ses escapades à sensation dans les décors d’une maison ultramoderne. D’après moi, c’est un thriller de très bonne facture à l’échelle tchécoslovaque. La seule chose qui m’a déplu, c’est la vingtaine de minutes finale, parce que j’aurais plutôt imaginé un dénouement plus sophistiqué avec un retournement de situation percutant. ()

Annonces

MrHlad 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais A young couple moves into a house of the future that permanently monitors its inhabitants and grants them all their wishes. But it soon turns out that it is not a safe arrangement, and necks are at stake. Karel Janák delivers a visually entertaining film starring a very fine Gabriela Marcinková, but unfortunately it gets tripped up by a silly story and incredibly stupid and illogical twists. ()

NinadeL 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Karel Janák has always profiled himself as an author who likes foreign models. Recently, he has also started to look to Slovakia, which has brought some more interesting ideas. In the end, it turned out that Janák was trying to make a thriller with artificial intelligence. And it worked for him, at least partially. The exteriors are really nice, one moment we are in Prague's Karlín, the next moment somewhere in Slovakia in a beautiful landscape. The cast is also interestingly mixed - there are three strong Czechs, and the rest are Slovaks. I see Marcinková and Porubjakova as interesting discoveries, and Hajdu and Luknár are among the faces I would like to see again. The theme itself is so unusual that one can forgive a lot of things within the whole, the details do occasionally fracture, but I would like to see many more genre films made in Czech meadows and groves with similar energy. ()

Photos (48)