Résumés(1)

Peu de temps après les événements relatés dans Split, David Dunn (Bruce Willis) – l’homme incassable – poursuit sa traque de La Bête, surnom donné à Kevin Crumb (James McAvoy) depuis qu’on le sait capable d’endosser 24 personnalités différentes. De son côté, le mystérieux homme souffrant du syndrome des os de verre Elijah Price (Samuel L. Jackson) suscite à nouveau l’intérêt des forces de l’ordre en affirmant détenir des informations capitales sur les deux hommes… (Walt Disney Company France)

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Bande-annonce 7

Critiques (14)

POMO 

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français Monsieur Shy a gagné gros avec celui-ci. Travaillant constamment avec le potentiel dramatique des trois personnages principaux et leurs interactions d'approfondissement/d'approche à l'intérieur d'une seule maison. Il explore et révèle la nature brillante du concept qu'il a créé il y a 19 ans et qu'il a poursuivi il y a 3 ans (l'idée magique de la présence de superhéros de bande dessinée dans la réalité). Il le fait avec sa jouissance habituelle de créativité visuelle, de références thématiques et finalement, de deux lignes directrices. Mais même si tout s'emboîte dès la première et devient proprement conspirateur, original et audacieux par rapport aux attentes du spectateur, je ne suis pas tout à fait sûr de l'avoir voulu ainsi. Sans parler de la deuxième qui ne devrait tout simplement pas être présente du tout, car le film n'est absolument pas construit en fonction d'elle. JEREMIE ()

Goldbeater 

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français Apparemment, M. Night Shyamalan a tout fait pour frustrer le spectateur avec la composition de ce film. Dès le début, j’ai aimé l’évolution des personnages du père et du fils depuis Incassable et j’aurais volontiers regardé comme ils coopéraient jusqu’à la fin du film. Malheureusement, dès qu’on passe à l’environnement de l’hôpital psychiatrique, on se retrouve alors sur une vague intime aux conversations vaguement inquiétantes avant de culminer sur un final à rallonge insensé. J’ai eu l’impression que Shyamalan a un peu voulu surfer sur la vague actuelle du style BD tout en crachant dessus à sa façon. En fait, ce dénouement est une claque à la fois pour les amateurs de films à BD et pour celles et ceux qui viennent de Incassable – aucun de ses deux groupes n’a pu souhaiter ceci. En fait, je me dis qu’on aurait mieux fait de s’arrêter au caméo de Bruce Willis dans Split. ()

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J*A*S*M 

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anglais Well… Given that I was mentally prepared for the worst, I’m not disappointed. In fact, I’m relatively a tiny bit pleasantly surprised that, at least conceptually, it makes some sense. IMHO, it is well though-out. In Glass, Shyalaman explores a well known but slightly different motif of comics films - how it would be in the real world - without the viewer actually anticipating it until de last moment. For the closure of a trilogy, it makes sense overall. Unfortunately, the film is almost impossible to enjoy purely at the level of the viewer, but only after it finishes, if you are able and willing to appreciate its structure. There are several stupid moments that ruin what could be a pleasant experience, along with empty dialogues and inconsistent performances (I like Sarah Paulson, but here she was badly cast). What’s utter nonsense is the character of Taylor-Joy (what she’s forced to do there is unbelievable), as well as the final alliance of some of the characters. ()

Malarkey 

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anglais I understand where the director was going with all of this. Unfortunately, I don’t really get how he filmed it. While  Unbreakable is a fundamental movie of American cinema in my eyes, and Split set out to be the same, Glass connected the stories of all participants in a way that was not only unnecessary but it also spoiled my impression of the two previous films, which ended perfectly… and should have remained that way. But M. Night Shyamalan turned his superheroes into such strange figures that even though I still liked James McAvoy’s unrestrained acting, the movie as a whole made me really unhappy. It felt like a complete mess. But it’s still Shyamalan, so if you can endure the boring madhouse-like middle of the move, the finale can be quite intriguing from a screenwriting perspective. You certainly have to give him that. ()

MrHlad 

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anglais M. Night Shyamalan goes back to his roots and disappoints badly. In everything. Glass is a film that will probably make you a little embarrassed for the filmmaker himself. It looks televisual, but above all it's all incredibly stupid and self-aware at the same time. The twists and turns are absurd, the pacing is awfully slow and any attempts at philosophising are inhumanly off, and the decent Bruce Willis and James McAvoy can't pull it up to average. Watching Glass is like watching M. Night Shyamalan destroy his own legacy for two hours. And it's not a pretty sight. ()

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