L'Amant double

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If you like your thrillers psycho and sexual, offering more than a dose of Hitchcock and De Palma, François Ozon’s 17th film is tailor-made for you. Ozon started out his career with a series of dark and thrilling sexual fantasies. He returns to that terrain here, albeit with an added session of Freudian psychotherapy. Chloé (Marine Vacth) experiences stomach aches that her doctor feels are more psychological than physical, so he gives her the number of a therapist. She ends up in a relationship with the therapist, Paul, But after they move in together, Chloé sees Paul in a part of town that’s nowhere near his practice. But is it Paul? Ozon’s camera explores the outer limits of his subject’s fragile psyche, as well as going places that might make some blush. In doing so, he has fun playing with our perception of reality, whilst offering up a steamy but knowing take on the sex thriller. (Curzon Artificial Eye)

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POMO 

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français Inutilement, ici Françoise Ozon veut ressembler de trop près à De Palma avec les racines de Cronenberg (Dead Ringers). À travers un triangle amoureux bien joué sur le plan psychologique avec une image attrayante (ces miroirs sont tout simplement géniaux), il ne parvient qu'à être un jouet thriller avec une fin inintéressante où le conflit croissant entre les personnages s'épuise - ce qui rendait le film intéressant. Un jumeau français plus faible dans l'ombre de celui américain et culte. Avec une dose de sexe attirante pour le public. Vous ne pouvez pas manquer le plan d'ouverture de la caméra sortant du vagin sur l'écran de cinéma. ()

claudel 

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français L’éclectique Ozon nous livre cette fois-ci un thriller érotique terrifiant en recrutant Marine Vacth pour la deuxième fois. Et apparemment, elle le fascine plus ou moins autant que Ludivine Sagnier avant elle. Moi, je suis enchanté une fois encore, même si j’ai quelques réserves, surtout par rapport au message général et au final percutant, que je trouve tiré par les cheveux. Par contre, rien à redire sur le jeu des acteurs. ()

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Filmmaniak 

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français L'amant double raconte les racines psychologiques des fantasmes sexuels d'une jeune femme psychiquement compliquée tout en étant un hommage sophistiqué aux Sœurs de sang de Brian De Palma, à Faux-semblants de Cronenberg et à Rosemary's baby de Roman Polanski, plein de références et de doubles sens. En relation avec le thème des jumeaux, Ozon semble également apprécier la division de l'image, les plans symétriques sur l'axe et surtout les miroirs, qu'il insère dans chaque troisième plan pour attirer suffisamment l'attention sur le jeu illusoire dont il se rend coupable avec le spectateur. Dès le début, il joue avec la frontière entre fantasme et réalité, explore le fonctionnement interne de l'esprit du personnage principal et sort de sa manche des accessoires et des rebondissements impromptus, qui dans certains cas peuvent être facilement interprétés, dans d'autres nécessitent beaucoup d'attention et de réflexion pour être analysés, et dont certains autres prêtent probablement à confusion. Au final, Ozon échoue dans la narration du dernier tiers, qui semble trop combiné et chaotique, où la tension entre les personnages s'estompe et le point final complique encore davantage le plan psychologique. Bien que le réalisateur ait réussi à élever le thème de série B du thriller original avec des éléments érotiques à un drame psychologique artistique européen qui ressemble à Cinquante Nuances de Grey dans une version pour spectateurs exigeants et réfléchis, même pour eux, un seul plan restera gravé dans leur mémoire - celui de l'ouverture du film. ()

angel74 

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anglais Double Lover is another one of François Ozon's films that I'm not quite sure how to feel about. The unsettling atmosphere with a hint of mystery and irrationality drew me into the story, but I could certainly have done without the excessive eroticism. The nudity seemed pointless in places, as it didn't move the plot along. And in the end, that twist about the twins was just confusing all over again. It certainly did not lead to a satisfactory resolution. (60%) ()

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