Résumés(1)

Modeste employée d’un laboratoire gouvernemental ultrasecret, Elisa mène une existence morne et solitaire, d’autant plus isolée qu’elle est muette. Sa vie bascule à jamais lorsqu’elle et sa collègue Zelda découvrent une expérience encore plus secrète que les autres… (20th Century Fox FR)

Vidéo (11)

Bande-annonce 1

Critiques (15)

claudel 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Je ne fais certainement pas partie du fan-club de Guillermo del Toro et je n’étais jamais vraiment rentré dans sa poétique jusqu’à présent. Je me suis surpris moi-même parce que je ne m’imaginais pas regarder un jour La Forme de l’eau. Et j’ai bien fait de ne pas avoir cédé à mes préjugés et d’avoir donné une chance à ce film. Ainsi, j’ai été récompensé par un spectacle d’une beauté rare dont la singularité évidente en inspirera et enthousiasmera certains, alors que d’autres ne le seront pas et seront déçus, voire exaspérés en se demandant dans quoi ils ont bien pu se fourrer. C’est un récit original avec une ambiance sans pareille, une musique envoûtante et un superbe jeu d’acteurs. Si ça ne tenait qu’à moi, je préférerais nominer, à la place d'Octavia Spencer (déjà surnominée à l’instar de Denzel Washington), Michael Shannon, lequel a réalisé un sans-faute dans son rôle de vilain. Mais ne pinaillons pas et ne gâchons pas une si belle expérience artistique ! J'apprécie la subtile entrée en matière de certains thèmes clés sous forme de coups de gueule, de piques, de scènes brèves – une manière très élégante de faire passer le message du réalisateur. Après Lady Bird, voici mon deuxième favori pour les Oscars. ()

POMO 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Suite libre de l'aimée de Guillermo, "L'étrange créature du lac noir", avec une délicieuse reconstitution rétro et une créature unique, littéralement magnifique. La comparaison avec "Le Labyrinthe de Pan" est hors de propos, celui-ci était plus fantastique, cruel, triste et moins hollywoodien. "La Forme de l'eau" est un film américain enchanteur avec une prémisse simple voire prévisible, mais un traitement émouvant avec une multitude d'inserts cinéphiles. "La Belle et la Bête" rencontre "Roméo et Juliette". Un conte de fées pour adultes dans lequel l'héroïne ne lit plus de livres de fantasy mais se masturbe dans la baignoire. Un conte de fées de Guillermo modéré en quantité de sang et de violence, qui n'oublie ni la femme noire, ni le gay, ni le général américain trumpiste, ni le scientifique russe secret au bon endroit. Le tout écrit et réalisé avec décence, tout à sa place, juste un peu trop long. 100 minutes auraient été idéales. ()

Annonces

EvilPhoEniX 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Guillermo Del Toro and his new film The Shape of Water unfortunately didn't impress me and del Toro has disappointed me after a long time. While The Shape of Water garnered rave reviews and won awards at the Golden Globes for Best Director and Best Score, and I certainly can't deny the solid direction, the period atmosphere and decent performances, Michael Shannon as the bad guy is perhaps the best thing about the whole film, but the rest of the cast left me cold. The film has quite a plodding pace, an unlikeable main character who is so desperate that she's having it out with a Fish Man, and too much romance for my taste that the suspense and the few brutal scenes remain rather in the background. Surprisingly the humour works here though (“Never trust a man even if he is flat down there”). As a romantic fairytale about a mute girl who falls in love with a monster it seems to work, as a horror film it hardly works at all. But it will find its audience, a female audience I suppose. 45% ()

Malarkey 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais I was hyped for the new movie by Guillermo del Toro. A bunch of Oscar nominations only strengthened my excitement. But I really didn’t expect a fantasy premise to turn into a fantasy zoophilic romance. I don’t think this is the first time this idea has occurred to somebody in America but each time it only pissed me off. I can’t wrap my head around why Guillermo himself would waste his time on a story like this. ()

novoten 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais Carefully, I expected a mysterious fairytale, into which Guillermo del Toro would pour in a smaller amount, in the best case scenario, and a larger amount, in the worst case scenario, of depression, the main character of his Pan's Labyrinth. However, everything is different, and instead, I am getting a retro version of Splash! for eighteen and older narrated by Richard Jenkins. Among the participating actors, Michael Shannon is the one who stands out the most, although he sells his traditionally wild and scruffy face as much as he can, his storyline as an ultra-negative agent falls somewhat deaf due to unsuccessful family/marital scenes. I perceive that the beauty and the beast are given the main focus, surprisingly at the expense of the development of other characters' storylines but still, this thoroughly captivating spectacle is very likable to me in terms of genre. It is narrated innocently and honestly, and does not try to be anything it is not even for a moment. ()

Photos (82)