Résumés(1)

Un jeune garçon passionné d'astronomie essaie d'arrêter l'invasion de sa ville par des aliens qui s'emparent de l'esprit de ses habitants en contrôlant l'esprit humain au moyen d'un implant situé dans le cou de leurs victimes. Avec l'infirmière de son école, le garçon va tenter d'alerter et obtenir l'aide de l'armée américaine. (ESC Distribution)

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Critiques (2)

Goldbeater 

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français Je me suis replongé dans l’univers de science-fiction du film original de 1953 que j’ai regardé il y a deux ans et je dois dire que je n’ai pas vraiment trouvé de justification pour un tel dépoussiérage. Tobe Hooper recopie fidèlement les prémisses narratives de l’original en y mettant le paquet, visuellement parlant, mais n’ajoute rien de nouveau à l’histoire à part des références à sa source. Au contraire, il va jusqu’à conserver la partie la moins glorieuse de cette dernière (à savoir le final). Quant au look des martiens, celui-ci est innovant, mais tout aussi involontairement hilarant que dans l’original. Le film, auquel Hooper semblait tenir comme à la prunelle de ses yeux, a donné du fil à retordre au duo de producteurs Golan/Globus. Ces derniers, après avoir vu ce film-ci et Massacre à la tronçonneuse 2 du même réalisateur et de la même année, ont commencé à se faire du mauvais sang et à se demander dans quels projets fous ils avaient investi leurs ressources financières – à fonds perdu, cela va sans dire. Et effectivement, Hooper n’a pas inondé les studios Cannon de rentrées juteuses. Par contre, il a remis le couvert en sortant au moins trois projets mégalos relativement intéressants et bizarres, parmi lesquels au minimum un est, d’après moi, de bonne qualité. ()

JFL 

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anglais Like his preceding Lifeforce, Hooper’s second project under his three-picture deal with Cannon Films is a fanboy effort by which the director fulfilled his dream of shooting a remake of his favourite film from childhood with the use of modern effects. Except for the effects, however, his reworking of the 1950s sci-fi flick Invaders from Mars unfortunately brings nothing new to the table. In terms of narrative, this literal copy retains not only the paranoid premise, but also the naïveté and half-baked nature of the original. By imaginatively interpreting and reworking the original, Hooper could have made a great contribution to the then-current trend of children’s films based on horror and science fiction. However, Hooper’s ambitions did not extend in that direction, which is confirmed by the involvement of a completely uncharismatic and hopeless actor in the lead role (it is no surprise that his career came to a halt after this). Following the example of 1950s trash flicks, Hooper didn’t care who played the hero, because neither the protagonist nor any motifs relating to childhood are of any concern here. The protagonist is merely a puppet in the hands of an ideologically tinged screenplay that seems out of place in the context of the 1980s. Like his other projects for Cannon Films, Hooper’s Invaders from Mars is fascinating as a completely unprecedented and unrepeated phenomenon in Hollywood cinema, when a talented filmmaker gains access to a generous production environment in order to please himself by making projects that do not in any way take any trends or commercial calculations into consideration. ()

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