Ghoul

Bande-annonce 2

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While filming a documentary about cannibalism of the 20th century, a crew of American filmmakers must face the real life story of probably the most violent serial killer of all time, a cannibal who killed more than fifty people. They travel to an area of Ukraine where people have been mysteriously disappearing, and soon find themselves trapped in a supernatural hunting ground, the next victims of a malevolent spirit. (texte officiel du distributeur)

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Bande-annonce 2

Critiques (6)

Filmmaniak 

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français Je ne comprends pas pourquoi les créateurs s'accrochent autant à l'appellation « thriller sombre » alors que c'est un film d'horreur pur et dur. Il n'est pas aussi effrayant qu'il en a la réputation, et il est plutôt dans un style bon marché de série B, mais d'un autre côté, il est tout à fait comparable, en termes de qualité, aux films d'horreur américains du même genre. À cet égard, c'est une victoire pour Petr Jákl, qui a réussi à réaliser un film tchèque pur genre et qui a une chance de se faire une place dans le monde. De plus, il est plutôt fonctionnel, atmosphérique et, dans certains aspects, même meilleur que la concurrence étrangère équivalente, donc il n'y a pas lieu de le regretter. ()

claudel 

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français J’apprécie que Petr Jákl ait tourné un film d’horreur réellement hors normes avec une intrigue construite de façon singulière. En même temps, il s’appuie énormément sur les éléments hitchcockiens classiques – surtout le principe selon lequel c’est ce qu’on ne voit pas à l’écran qui effraie le plus. D'une certaine manière, la connexion avec la véritable histoire de Tchikatilo est également intéressante. Pourtant, je m'attendais quand même à quelque chose de plus. N'empêche, je suis très heureux qu'un réalisateur tchèque soit parvenu à percer à l'étranger et que Ghoul puisse être considéré comme un projet réussi. ()

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POMO 

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français Enfin, un film dont le genre n'est pas handicapé par la soutenue de l'Europe de l'Est, a des couilles et est vendable à l'échelle mondiale. Un film d'horreur universel de l'école hollywoodienne paranormal-blairwitchienne, réalisé mieux que la plupart de ses semblables, par exemple Chernobyl Diaries, The Dyatlov Pass Incident (ce qui correspond mieux à la position d'un meilleur réalisateur que Renny Harlin :-) Le film est composé de choses que nous avons déjà vues ailleurs, mais ça marche. Surtout grâce au personnage de "Čikatilo", rien que son nom donne des frissons lorsqu'il est prononcé. Dommage que son nom ne soit pas introduit plus tôt dans le film, cela aurait pu donner une atmosphère plus intense. Et dommage que Jákl n'ait pas présenté cela plus tôt. Aujourd'hui, son film ne sera qu'un parmi tant d'autres. ()

lamps 

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anglais I don't need to write about how Ghoul stands out in Czech horror, because in this respect it has almost nothing to excel against. Jákl has shown himself to be a modern world filmmaker well versed in what attracts viewers to the scary genre and who, above all, is able to realise all the old horror motifs at such a level that the result overshadows the vast majority of more expensive and ambitious but very similar pseudo-documentary horror films. A brisk, imaginative (excellent jump-scares), superbly scored and decently paced European movie that cleverly highlights the already stifling atmosphere with the help of the chilling phenomenon of Andrei Chikatilo. The intro is quite protracted, the cannibalism is severely underused and it’s impossible to form a strong enough relationship with the characters for the final part to draw you in other than by virtue of the effective stylization, but within the massive Blair Witch wave, Ghoul is definitely one of the more interesting and sophisticated representatives. 65% ()

Isherwood 

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anglais This is a western genre standard undermined by the absence of a single moment of surprise and the fact that for the sake of effect, the characters are willing to act like monumental dullards. This fact could be forgiven if they were given an extra drop of personal life. However, all of this is unfortunately absent, and so in the end it is... a western genre standard. [Whether that's praise or scorn is up to you]. 3 ½. ()

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