Résumés(1)

The film, an adaptation of a bestselling novel by author Michal Viewegh, is a comedy about friendship, fateful loves, beauty and ugliness, alcohol, and the search for human happiness. In several time lines, the film tells the story of school-friends going through various stages of life together. We find ourselves at a class reunion. This ostensibly banal situation opens the way to both sentimental memories and, above all, a balancing up of lives led to date, with their unfulfilled desires and realized dreams. The plot revolves around three friends – Jeff, Skippy and Tom – whose ups and downs and relationship breakups keep bringing them back to a shared bachelor apartment. Their counterparts in the story are two women – the class beauty Eva, who becomes the object of desire of all three guys in turn, and the ugly Hujerova, whose ironic attitude to herself and life in general gives her the ability to survive in a world that prizes beauty and to find her own path to happiness. (texte officiel du distributeur)

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Critiques (4)

POMO 

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français Alors ça se passe comme ça avec ces premières festives en plein milieu de la semaine... Vous êtes débordé de travail, donc le film comme Vybíjaná, qui n'est certainement pas un "agresseur" (et pendant les dix premières minutes, vous vous dites "Mon Dieu, pourquoi ai-je encore été séduit par ça ?"), vous le percevez à peine toutes les deux scènes. Bien sûr, ce sont les scènes avec des blondes - jeunes et moins jeunes. Et au fur et à mesure que le temps passe et que vous essayez en vain de vous orienter parmi les rôles adultes / adolescents (l'équipage masculin est vraiment bizarrement casté), à travers la musique et les différentes scènes chaleureusement humaines, vous développez une relation de plaisir coupable étrange avec le film. Votre intellect résiste fortement, mais vous vous soumettez peu à peu. Et finalement, cela se transforme en un agréable petit film sans prétention pour la télé du week-end. C'est probablement comme caresser un petit chaton. Bête, mais tellement mignon petit chaton... ()

Malarkey 

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anglais I’d had no idea I was going to enjoy Dodgeball this much. Maybe also because some users here gave the movie such bad reviews. And you know what? I actually don’t get it. What’s wrong with this movie? I’m not a big fan of Viewegh. I don’t like his books and I don’t actively seek out movies based on his books, but Dodgeball might be one of the best movies based on his books that I’ve seen so far. Suchánek, Genzer and Sokol do make for a pretty good crew and Babčáková can easily keep up with them. I do admit that the time jumps were sometimes difficult to follow, but it gradually settled down and things started making some sense. The only thing that could be criticized about this movie is that rather than a comedy it’s a melancholic drama the likes of which we’ve seen quite often recently and it usually involves somebody from the improv group Partička in the star role. Other than that, it was fun to watch. It’s clear that Petr Nikolaev is rightfully one of the Czech foremost film directors. ()

Filmmaniak 

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français Vybíjená est un chaos de morceaux épars provenant de différentes dimensions temporelles, il est humoristique de manière sporadique et tombe beaucoup plus souvent dans le sentimentalisme et la mélancolie. Par son ton et son atmosphère, il rappelle fortement Snezenky a machri po 25 letech/The Great Thaw, mais comme si le premier volet, Sněženky a machři/Snowdrops and Aces, n'avait jamais existé. Il ne se tient pas vraiment et se décompose en scènes isolées, dont certaines élèvent le niveau du film grâce à des acteurs talentueux, tandis que d'autres semblent parodiques de par leur atrocité. ()

claudel 

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français Vybíjená est mon livre préféré et, à mes yeux, le meilleur que Viewegh a écrit. J’ai toujours imaginé que celui-ci serait très difficile à filmer et j’attendais l’occasion de pouvoir demander à l’auteur en personne ce qu’il en pensait. Et l’improbable s’est produit. En voyant les premières bandes-annonces, j’étais très sceptique, parce que je voyais comme une erreur le fait d’avoir recruté la quasi-totalité du casting de Partička. Le scepticisme m’est resté pendant à peu près la moitié du film, mais ensuite, il s’est en quelque sorte évaporé. Je pourrais concevoir une meilleure distribution, mais ce n’est finalement pas si désastreux. Surtout, il me faut saluer le choix de Simona Babčáková pour le rôle de Hujerová, parce que, même en passant toute la Tchéquie au peigne fin, on n'aurait pas trouvé mieux qu'elle. De même, le duo Krainová-Bartošová était une bonne idée. Petr Nikolaev, lui, ne m’a encore jamais déçu et ça vaut aussi pour Vybíjená. Il s’avère que ça reste infilmable pour moi, mais j’apprécie l’effort et l’ambiance douce-amère qui imprégnait le livre et a pu être transposée au film. Ce n’est pas un pur quatre étoiles, mais compte tenu de l’évaluation globale excessivement critique que l’on trouve ici, je relève délibérément le niveau. De plus, la comparaison avec Andělé všedního dne m’est venue à l’esprit et, dans ce contexte, Nikolaev l’emporte d’un – gros – poil. Un décompte sportif donnerait un score de deux-zéro pour un match Nikolaev-Nellis sur les trois dernières années. ()