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Maureen (Kristen Stewart), une jeune américaine à Paris, s'occupe de la garde-robe d'une célébrité. C'est un travail qu'elle n'aime pas mais elle n'a pas trouvé mieux pour payer son séjour et attendre que se manifeste l'esprit de Lewis, son frère jumeau récemment disparu. Elle se met alors à recevoir sur son portable d'étranges messages anonymes... (Les Films du Losange)

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Critiques (3)

POMO 

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français Croisement entre un drame existentiel et un thriller meurtrier, avec une immersion intime dans le personnage principal qui fait face à la mort de son frère tout en cherchant à se trouver elle-même. Le film exploite brillamment la profondeur émotionnelle de Kristen Stewart, la poursuivant à chaque pas, à travers chaque fluctuation émotionnelle qu'elle traverse comme des gouttes de pluie. Seule dans la chambre lors de la scène la plus intime et masturbatoire, la caméra la laisse seule. La scène de quinze minutes, échange de SMS, est la mieux montée qu'il m'ait été donné de voir. Un jouet cinématographique agréablement glaçant, à la manière de De Palma, plongé dans les mystères et les ambiguïtés, stimulant l'expérience sensorielle. Et c'est ce que j'apprécie. [Cannes] ()

kaylin 

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anglais A strange film that brings together genres that could have worked separately. A drama about a girl who is tired of her job and is trying to get over the death of her twin. But it's also a mystery thriller with literally horror scenes. Even though some scenes individually work interestingly, overall, even with the last scene, there isn't any significant spiritual fulfillment. ()

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novoten 

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anglais From the first moment to the last, a personal tale that gets deep under the skin of the main heroine. But there all the intensity ends. In the introspective, almost demonstratively modest layer of the closed shopper, in the magic of normalcy. I still have yet to decipher the genre deviations for ghosts, I myself refused the voluntary path of doubt towards reports of the unknown, even despite its undeniable power. At the moment when piercing narrative questions are posed, I could finally properly get into that otherness, but the unsettling ambiguity of the answers is cowardly and the grinding of previous points by the conclusion itself is like a waste. Olivier Assayas voluntarily swerves into a dead end right before the finish line. ()

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