Cold Skin

Bande-annonce 2

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En 1914 alors que le monde se prépare à l’apocalypse, un jeune homme est débarqué sur une île rocheuse et inhospitalière, près du cercle antarctique. Sa mission : remplacer pour les 12 prochains mois l’officier météorologique qui a mystérieusement disparu. Alors que le bateau s’éloigne, il est loin d’imaginer que de terribles créatures ont déjà pris possession de l’île. (Condor)

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Critiques (2)

POMO 

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français Cold Skin prouve qu'être un boucher talentueux en tant que cinéaste n'est pas la même chose qu'être un réalisateur qualifié. C’est-à-dire un réalisateur capable, par exemple, de raconter de manière exhaustive l'histoire d’une rencontre entre deux espèces animales avec un développement sensible. Cold Skin est un chien-chat dysfonctionnel que Xavier Gens transforme progressivement d'un survival horror en un conte de fée fantastique avec du cœur. Mais déjà au milieu du film, quelque chose ne va plus, et le résultat ne fait que susciter un sourire amer. En même temps, il avait du potentiel de par son thème et de par l'environnement d'une côte volcanique accidentée, et compte tenu du budget/possibilités de déploiement, on pourrait même lui pardonner une version numérique moyenne. ()

Necrotongue 

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anglais Feel free to think of me as a conservative cock blocker, but I'm just not that into this kind of interspecies intimacy. Farm animals don't attract me sexually, and the idea of my cuddling with an amphibian is out of the question. So, the film wasn’t my kind of thing in this respect, although, in real life, Aura Garrido's mom and dad should really be proud. The plot wasn't bad in itself, the actors were really making an effort, and because I like Lovecraft's short stories (I assume the writers were inspired by them), I would have given a higher rating if it hadn’t been so anticlimactic. ()