L'Oiseau au plumage de cristal

  • Italie L'uccello dalle piume di cristallo (plus)
Bande-annonce 2

Résumés(1)

Sam Dalmas est un écrivain américain. Venu habiter à Rome en espérant pouvoir y vivre de sa plume, il doit très vite déchanter, se résoudre à écrire des ouvrages de vulgarisation pour gagner sa vie. Il est environ minuit à Rome. Il rentre chez lui, parcourant une rue déserte où seule une galerie futuriste est éclairée. Distraitement, il y jette un coup d'oeil, puis s'arrête brusquement, se précipite : au fond de la galerie, un homme vêtu de noir, une jeune femme luttent sauvagement, l'éclat d'un couteau brille entre eux... Essayant de lui porter secours, il est piégé par les deux portes automatiques de la galerie d'art, ne peut qu'observer pendant que l'assaillant s'enfuit. La police arrive sur les lieux du drame, cherche vainement l'issue choisie par l'agresseur pour fuir. Suspicieuse, elle confisque le passeport de Sam... (Wild Side Video)

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Critiques (4)

POMO 

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français Les thrillers giallo sont une composition visuelle, une sélection minutieuse et la création de lieux spécifiques, mais surtout ils sont basés sur l'atmosphère. Le point clé réside dans le fait que de nos jours, il est souvent peu excitant voire naïf. Ce film d'Argento ne choque pas non plus à la fin, mais dans la direction artistique et la caméra, il est inégalable - pour Argento, les couleurs des intérieurs sont comme d'autres personnages du film. Les magnifiques "screaming queens", le rôle étrange de Maria Adorf en tant qu'artiste margina, fou nourrissant de la viande de chat; et un autre personnage inoubliable, celui du meurtrier repoussant en manteau jaune qui vous poursuivra dans vos rêves. Sa scène sur le parking des bus, montée de manière hypnotique et troublante, est la plus palpitante du film. Pour moi, c'est certainement un meilleur giallo que le célèbre "Profondo Rosso" d'Argento. ()

J*A*S*M 

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anglais It’s interesting to see how some people can have an intense horror experience with so little: a couple of murdered women, about four drops of blood, a killer in a black cape and a famous name behind the camera. In his horror début, Argento makes the same mistakes he would continue making later on. This means that the technical qualities are fist-rate, there are some nice scenes here and there and the atmosphere is also good at times, but the actors feel as natural as I in a Hip-Hop concert. And I’m not even talking about the “shocking” (ha, ha) ending, which is awfully acted and directed, lacking any tension and with a script that it’s worth shit. ()

Remedy 

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anglais If it weren't for Argento's garish visual style, his debut would have been a completely average (maybe even slightly below average) murder mystery. I can't help but feel that the acting is simply flat, and the overall impression is saved mostly by the masterful performances of Ennio Morricone and Vittorio Storaro. Still, if I turn a blind eye, it's quite decent as a directorial debut. [60%] ()