The Raid 2

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Après un combat sans merci pour s'extirper d'un immeuble rempli de criminels et de fous furieux, laissant derrière lui des monceaux de cadavres de policiers et de dangereux truands, Rama, jeune flic de Jakarta, pensait retrouver une vie normale, avec sa femme et son tout jeune fils...Mais il se trompait. On lui impose en effet une nouvelle mission : Rama devra infiltrer le syndicat du crime, où coexistent dans une sorte de statut quo mafia indonésienne et yakusas. Sous l'identité de "Yuda", un tueur sans pitié, il se laisse jeter en prison afin d'y gagner la confiance d'Uco, le fils d'un magnat du crime indonésien - son ticket d'entrée pour intégrer l'organisation. Sur fond de guerre des gangs, il risquera sa vie dans un dangereux jeu de rôle destiné à porter un coup fatal à l'empire du crime. (The Jokers/Le Pacte)

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Bande-annonce 6

Critiques (14)

POMO 

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français Si Gareth Evans maîtrisait les personnages et les dialogues aussi bien qu'Andy Lau dans "The White Storm", ce serait le meilleur film d'action de tous les temps. Mieux que le meilleur de John Woo en termes de longueur, de nombre de personnages et d'intrigue, cependant, c'est un peu trop exagéré. Les dialogues qui remplissent les deux tiers du film et tentent de construire un drame méga-épique sont trop pour les limites dramaturgiques d'un pur film d'action. Visuellement, cependant, c'est parfait, en particulier les intérieurs magnifiquement réalisés à la manière de Kubrick. Au grand écran du complexe Thermal à Karlovy Vary, une expérience esthétique incroyable. ()

Filmmaniak 

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français Ok, les séquences de combat sont parmi les meilleures que j'ai jamais vues. La chorégraphie des combats est unique, et il convient de noter que The Raid 2 est un film vraiment violent, voire brutal (âmes sensibles s'abstenir). En même temps, il est très sérieux et ne contient pas une seule tentative d'humour - le réalisateur talentueux et compétent a clairement essayé d'élever son film à un niveau supérieur et de le rendre plus sérieux et mature, mais il aurait certainement eu besoin d'un scénario meilleur et plus sophistiqué pour cela. C'est ainsi que The Raid 2 se situe quelque part entre un film d'action divertissant de série B et un drame criminel ambitieux de gangsters, avec beaucoup plus de succès dans le premier aspect. Dans certaines scènes de dialogue, il a même tendance à ennuyer (150 minutes, c'est un peu trop long). Mais c'est certainement la garantie frappante, audacieuse et sans compromis d'une expérience unique. ()

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Lima 

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anglais Gareth Evans is an incredible talent. His ability to compose shots in calm passages with pedantic precision reminded me of the first Kill Bill, where Tarantino also fondled every image. On the other hand, he always manages to spice up action scenes with some unexpected visual flourish and breathtaking vivacity, with choreography that is unrivalled today. Indonesian boys, hats off to you! It's a pity that the film as a whole is a mere wait for each excellent action sequence and the plot in between is nothing but necessary filler that fails to engage the viewer (at least in my case). Still, I applaud Evans and I can't imagine what this guy will throw at us in the future. Hell, he's not even thirty yet! It’s truly admirable how much skill he has despite his youth. ()

J*A*S*M 

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anglais (49th KVIFF) The atmosphere in the big theatre was unique, but the sequel of The Raid was a big disappointment for me, mainly because it’s a totally different genre than the first one, which was basically a horror survival. Here Evans tries to tell some kind of intricate Mafia drama with a complex story, but he is not quite successful at it: the motivations are lost, the plan as a whole is unclear and, mostly, it’s terribly boring overall. The moment they start kicking the living shit out of each other, though, it’s nice to watch. The choreography of the fights is amazing, but they don’t make much sense from a narrative standpoint. The last hour, when the characters finally have said everything they wanted to say, it’s fun, but the bad aftertaste of the gruelling ninety minutes that preceded it is impossible to forget. Evans should come back down to earth. ()

Isherwood 

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anglais The first film, minus its only flaw (the absence of a plot), equals this. Admittedly, I hesitate to wonder if delivering the plot had to mean a two-and-a-half-hour epic, but overall it works great. The last hour is something that goes against everything I have experienced in cinema so far. The physicality of this spectacle goes beyond the horizons of the common imagination, and Evans has a notch in the form of the best subgenre spectacle. The several times that I involuntarily said "Holy crap!" sum up all the superlatives I can think of in connection with this. ()

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