Le Corrupteur

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Nick Chen est un bon flic. Un prince à Chinatown. Pris en exemple par ses collègues de la police de New York et apprécié des femmes. Il est cool, expéditif, élégant, racé, rusé et, surtout, introduit dans le milieu des Triades, la très puissante mafia chinoise. Danny Wallace est un bleu. Il a des lunettes à la Buddy Holly, un tatouage en forme de crucifix sur la poitrine et une volonté de fer. Mais il fait preuve d'un étrange manque de courage lors de son baptême du feu : une fusillade dans un bordel de Chinatown. Quand le second débarque dans le bureau du premier, avec la ferme intention de nettoyer le quartier chinois où règnent la loi des gangs et une corruption hissée au rang de tradition, le contact tourne à la confrontation... Pour les Chinois, Wallace est un " gwailo ", un " diable d'étranger ". Pour Chen, il représente un fardeau, un élément à former, une cible idéale pour Bobby Vu et sa bande de tueurs. Et tandis que Fonkinais et Dragons se livrent une guerre fratricide à coups de fusils d'assaut et d'explosifs, l'improbable duo de flics connaît ses premières fêlures. Le père de Wallace, Sean, joueur invétéré criblé de dettes, refait surface. Et les liens douteux qu'entretient Chen avec Henry Lee, baron des Triades, commencent à attiser la curiosité des pontes du FBI. Henry Lee dirige tout. Sait tout. Voit tout. Et contrôle tout. Il est... Le Corrupteur. (Metropolitan FilmExport)

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POMO 

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français Le deuxième film américain de Chow Yun-fat, est un pas en avant agréable par rapport à ses débuts hollywoodiens avec The Replacement Killers, mais ce n'est toujours pas le vrai problème. Alors que The Replacemet Killers était un non-sens filmé de manière spectaculaire, The Corruptor a un scénario tangible et une histoire fascinante de l'amitié compliquée entre un jeune policier honnête (Mark Wahlberg) et un requin de policier corrompu (Yun-fat). L'histoire est certes truffée de trous, mais l'atmosphère sombre des rues urbaines sales et le potentiel dramatique des scènes intimes réussissent à les combler. Le même thème, mais poussé à la perfection, a été réalisé plus tard dans le thriller Training Day, réalisé paradoxalement par le réalisateur de The Replacemet Killers. ()

3DD!3 

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anglais I found this nineties movie more entertaining now than I did back then. With a decent screenplay and a couple of breakneck twists, Chow Yun-Fat and a young Wahlberg keep its head above water. Foley doesn’t show off much here. Nudity and rivers of blood, as expected, action not good not bad, but a couple of moments are really satisfying. Old school. ()

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