Le Rite

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Le jeune séminariste américain Michael Kovak se rend au Vatican pour y étudier les rites de l'exorcisme. Féru de psychologie, il nourrit de sérieux doutes à l'égard de ces pratiques anciennes, et juge que la «possession» relève de la psychiatrie plutôt que de la démonologie. Il se heurte périodiquement à ses formateurs jusqu'au jour où ceux-ci l'adressent au Père Lucas, ecclésiastique légendaire qui a pratiqué avec succès des centaines d'exorcismes. Au contact de ce mentor au comportement abrupt et déroutant, Michael commence à se déprendre de ses préjugés. Un cas se présente bientôt à lui, dont la violence terrifiante va le forcer à se remettre en question... (Warner Bros. FR)

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Critiques (6)

POMO 

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français Hafström est un artisan honnête. Avec des acteurs de qualité, il sait toujours faire un thriller décent à partir d'un scénario prometteur. Cependant, le scénario d'Obrad, qui endormirait même un cheval dopé aux yeux rouges, ne le lui a pas permis cette fois-ci. Comme si la production comptait sur le fait que le casting de Hopkins joliment maquillé, lançant énergiquement toutes les nuances des sourires diaboliques d'Hannibal, transforme la banalité ennuyeuse en une course de thrillers terrifiants. Ce n'est pas arrivé, et O'Donoghue inexpressif n'a pas du tout aidé. Obrad n'a pas un seul moment vraiment fort et ne se démarque absolument en rien sur le thème de l'exorcisme, que Le Voleur d'Âmes a brillamment incarné en premier et que Le Cas Emily Rose a récemment exploré de manière intéressante. Même La Malédiction américaine était plus intéressante, ne serait-ce que par son cadre historique et ses friandises visuelles. Obrad est faible, insignifiant, inutile. Il se dirige constamment vers quelque chose de plus grand qui finalement ne se produit pas. ()

Filmmaniak 

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français Mikael Håfström aurait dû abandonner la ligne psychologique médiocre et se concentrer sur les éléments d'horreur qui fonctionnent bien dans le film. Ainsi, de nombreux motifs (grenouilles, sabots) se répètent inutilement et perdent de leur efficacité. Malgré l'attrait du sujet, Le Rite reste un spectacle moyen, sauvé par l'excellent Anthony Hopkins et les scènes effrayantes d'exorcisme. ()

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DaViD´82 

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anglais The approach in the opening forty-five minutes is pleasant, but foiled the screenplay which doesn’t manage to get anything extra from it, or anything at all, for that matter. In other words, the change in style from the bracelet scene onward is a release. All of a sudden it’s a sort of “initiation adventure for not-yet-father Lankester Merrin", although not even that can free it of the waters of mediocrity. P.S.: I have probably never seen a dumber and more senseless use of CGI; why not leave it up to the actors? ()

D.Moore 

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anglais "What did you expect? A spinning head and vomit?" Mikael Håfström hinted at it with 1408, and with The Rite he confirmed it - the guy is hugely talented and his next film should definitely be a horror again. Give us more of it. The Rite is has a great atmosphere, which is all the more pleasing because it doesn't just rely on the flawlessly excellent Hopkins, but relies on skillful direction, cinematography and unobtrusive, but impressive music. There simply hasn't been a better exorcism movie since The Exorcist. Four pure stars.__P.S. Only Anthony Hopkins can really afford to answer his mobile phone during the ceremony (although maybe it's because in Max von Sydow's time there were only landlines). A great scene. ()

J*A*S*M 

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anglais The most average from the averagely average. Mikael Håfström is not a bad director, but this time he got a not very good script. It’s not that it’s stupid, illogical or chaotic, but the story never escalates and doesn’t have any higher ambitions. Anthony Hopkins shines in the climax, but it’s a pity that he is not given more space than the bland apprentice (meaning the “likeable” hero we are supposed to root for). Otherwise, a couple of the jump-scares did scare me, the images of Rome were nice, so, considering that I had free time at the cinema, I don’t regret going :-D If you are not too anti-Catholic, The Rite won’t offend you. A more important question, however, is who it is trying to appeal to. Nobody, I’m afraid. ()

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