Résumés(1)

After being framed by some evil white cops, Dolemite emerges from the slammer ready for revenge with his old friends (including Queen Bee and her loyal pleasure girls) rallied behind him. (texte officiel du distributeur)

Critiques (2)

Goldbeater 

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français Un film farfelu qui se distingue avant tout par le charisme de l’acteur principal Rudy Ray Moore et dont l’enthousiasme créatif triomphe d’un amateurisme non équivoque. C’est que, sans cette volonté aveugle, Dolemite se casserait les dents sur le plan de l’intrigue et de la mise en œuvre. Par contre, en tant que blackploitation pourrie, le potentiel y est et promet de bons moments de rigolade face à la niaiserie dont il fait preuve. Ainsi, on peut se réjouir du jeu rigide des acteurs (notamment R. R. Moore, déjà cité plus haut), de la réalisation nonchalante (la plupart des scènes semblent avoir été tournées en une seule prise), de la photographie bâclée (on voit apparaître le micro du preneur de son presque dans une prise sur deux) et du montage absolument saugrenu. Aujourd’hui, cette série B est plutôt considérée comme une comédie, mais je doute que ce fût l’intention originale de ses créateurs, ce qui rend justement cet amateurisme si savoureux. Certaines scènes et répliques ne sont pas piquées des vers ! ()

kaylin 

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anglais Dolemite is exactly the kind of character that can only work in similar B-movies. He's a tough guy from the get-go, he's really big, he delivers lines poorly, and the ladies are crazy about him, something one might envy him for easily. There are some silly action scenes and at times, you can even see the sound technology, but still, it has that great charm of 70s B-movies. And the story's not that bad. ()

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