Résumés(1)

Ils ont cru qu'il était un simple ouvrier, un bouc émissaire idéal pour porter le chapeau d'un assassinat politique. Ils ignoraient qu'il s'agissait de Machete, un ancien agent fédéral hors pair, une légende... Laissé pour mort après son affrontement avec le puissant baron de la drogue mexicain Torrez, Machete s'est réfugié au Texas, où il cherche à oublier son passé. L'assassinat d'un sénateur et un coup monté font de lui l'homme le plus recherché du pays. Cette fois, Machete est bien décidé à se laver de ces accusations et à dénoncer une corruption rampante et tentaculaire. Mais il va trouver sur sa route Booth, un homme d'affaires prêt à tout entouré d'innombrables tueurs à sa solde ; Von, à la tête de sa petite armée personnelle, et Sartana, une employée des services d'immigration prise entre le respect de la loi et son désir de faire ce qui est juste. Pour l'aider, Machete va faire appel à Luz, la belle au cœur de révolutionnaire, et au Padre, un prêtre aussi doué pour les bénédictions que dans le maniement des armes à feu. Se frayant un chemin à coups de rafales, de sang et de cœurs brisés, Machete cherche à la fois la vengeance et la rédemption... (Sony Pictures Releasing France)

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Bande-annonce 2

Critiques (13)

claudel 

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français L’enthousiasme de Robert Rodriguez par rapport à la matière qu’il a choisie suinte littéralement du film. À vous de voir ensuite si ça vous parle ou non. Pour moi, la sauce a pris d’un coup ! Danny Trejo semble taillé pour ce rôle ou, pourrait-on dire, Machete semble avoir été fait à son image. Le reste de la distribution est au top et j’ai l’impression que l’ensemble des acteurs et actrices s’est éclaté. L’avantage de voir le film original quand la suite est déjà à l’affiche des cinémas, c’est qu’on peut enchaîner les deux. ()

POMO 

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français La vedette de Machete n'est pas Danny Trejo-Machete, ni même Danny Trejo-le jardinier :-) Ce gars, bien qu'en tant que légende culte d'un sous-genre, je ne peux pas me passer de lui, il ne sait tout simplement pas jouer - il sait seulement grimacer. La vedette de Machete est un groupe nombreux de méchants complètement dérangés, parmi lesquels chaque spectateur trouvera son propre bad-ass-mother-fucker. Pour moi, c'est Don Johnson qui se cache derrière de grandes lunettes de soleil. Même Seagal profite pleinement de son rôle. L'année 2010 est simplement une année de films pour les anciens bons héros d'action... Rodriguez a réalisé son film Machete de manière orgasmique et stylée, et vous vous souviendrez probablement de plus de scènes de ce film que de Planet Terror. Mais il lui manque des répliques culte et la présence d'un autre personnage dérangé avec le visage du grand Mr. Q.T. ()

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Isherwood 

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anglais They should have stuck with the fake trailer. It serves up imaginative action and catchphrases in every other scene, but the whole thing is kind of... sterile. And boring at that. Lost among the geysers of stylishness is a plot that needed to draw us in more and give us more insight into the characters. I know, it’s all about a slightly different genre and intelligence rules, but even when you have one of the ugliest people running around between Hollywood and Mexico in the lead role, you expect the fun to be a little more serious, or conversely, a little crazier. Like Planet Terror. ()

J*A*S*M 

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anglais So, that little grindhouse flick that was shadowed by Stallone’s The Expendables turned out to be something completely outrageous that knows no limits. A perfect dose of trash and self-awareness. Trejo! Seagal! Alba! De Niro! Fahey! Lohan! Rodriguez! Rodriguez! While The Expendables fool around… ()

Matty 

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anglais –Cuban? –Mexican. It’s such a shame that Rodriguez didn’t have the balls to shoot the whole of his Mexploitation flick as crudely as he filmed the über-muthafucka prologue... I found that regrettable until the scene with entrails. The film’s superficial refinement only draws attention away from the self-confident (and self-conscious, as evidenced by the involvement of the uncensored internet) contempt for common sense, good taste and every conceivable kind of political correctness. Machete is an exploitation movie for multiplexes, but that doesn’t mean that it would lack machetes, machine guns, boobs, gore, sexy nurses, a murderous nun, a one-eyed avenger, Steven Seagal, Tom Savini and a  pissed-off Mexican with a weed whacker. You can either accept this film in all its simplicity and bombast and enjoy the ruthless fun, or look for a more sophisticated view of the world. This time, I’m giving a strong four-start rating and posing a simple question: why always complicate things? 85% ()

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