300 : La naissance d'un empire

  • États-Unis 300: Rise of an Empire (plus)
Bande-annonce 9

Résumés(1)

Le général grec Thémistocle tente de mobiliser toutes les forces de la Grèce pour mener une bataille qui changera à jamais le cours de la guerre. Il doit désormais affronter les redoutables Perses, emmenés par Xerxès, homme devenu dieu, et Artémise, à la tête de la marine perse... (Warner Bros. FR)

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Bande-annonce 9

Critiques (10)

POMO 

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français Un match de football résolument spectaculaire, imprégné du sang des bandes dessinées, avec un échange irrésistiblement animalier à la mi-temps (qui m'a excité), et une déclaration poétique qui a été un véritable coup de grâce lors de la finale (qui m'a mis KO). Félicitations aux créateurs pour la magnifique conception de la suite qui constitue une extension imposante du premier film, qui désormais sonne humblement. ()

claudel 

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français Une boucherie sanglante, une orgie guerrière et un beau paquet d’action. Le choix idéal pour se détendre en début de semaine, pour éteindre son cerveau et se laisser bercer par les guerres médiques à l’IMAX. Il est vrai que 300 : La naissance d'un Empire a ses faiblesses, dont une représentation très polarisée, comme si le spectateur était automatiquement du côté des Grecs, un dénouement pathétique ou encore une intrigue très plate par moment. Mais moi, j’ai apprécié. Puis il y a le cas d’Eva Green. Il y a longtemps, avec un copain, on avait catégoriquement conclu qu’elle était la seule actrice à répondre au critère de « beauté perverse » et que pas une autre ne lui arrivait à la cheville. Pour un tel rôle, personne d’autre qu’elle ne pourrait mieux convenir. Eva contribue également à ma note de cinq étoiles et explique la raison de mon soutien envers les Perses. Mais enfin, comment se fait-il qu’elle ne figure pas encore à ma liste d’actrices favorites ?! ()

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Malarkey 

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anglais If it weren’t for Eva Green, there would barely be a third of the movie. Her charm has breathed life into this adaptation which is far more like a comic book movie than the first 300. It all stands or falls on whether she appears on the screen. Anyways, I was sort of sick and tired of this comic book feel. The first 300 was stylish and raw. But I’d compare this one to Sin City. Everything is purposely fake and wannabe cool. I’m not saying that it was disappointing, I’m really not. But it practically has just a single ace up its sleeve – Eva Green. Everything else is awfully fleeting. ()

NinadeL 

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anglais The only compelling reason not to completely ignore the sequel to 300 is, of course, Eva Green. Regarding the comic "Xerxes: The Fall of the House of Darius and the Rise of Alexander," the latter was not released until 4 years after the 2nd film and 20 years after the first "300" comic book album, so this is how the work became very dated and falls into that phase of Frank Miller's work that even the most loyal fans no longer want to discuss. ()

3DD!3 

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anglais A more than decent encore to the slaughter at Thermopylae. Less testosterone, more tactics, tricks and women. which makes the sequel much more diverse to watch. Eva Green steals the show, mainly because Stapleton simply doesn’t have the same charisma as Butler, and he knows it, and that’s why his character is craftier and, more than strength, he radiates intelligence. Xerxes, who initially was meant to be the mainstay of the movie, surprisingly appears somewhere toward the back, but Rodrigo still really enjoys his most famous role. A well-justified (what’s the word?) sidequel, that works even without the original 300. ()

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