Robocop

Bande-annonce 3

Résumés(1)

Après avoir bâti sa fortune grâce à des drones militaires, la multinationale OmniCorp vise désormais un nouveau marché : ils veulent introduire les robots dans la vie quotidienne. Lorsque Alex Murphy, excellent policier, père et mari modèle, est presque tué dans l'exercice de ses fonctions, c'est l'occasion rêvée... OmniCorp le choisit pour en faire son premier « RoboCop », un prototype mi-homme mi-robot. Bientôt, il y aura des RoboCops partout, dans chaque ville, ce qui garantira une fortune pour les actionnaires de la société. Mais ils ont oublié une chose : à l'intérieur de la machine, il y a un homme... (StudioCanal)

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Bande-annonce 3

Critiques (13)

POMO 

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français Dans la première moitié de RoboCop, il observe la psychologie de la transformation d'un homme en robot et pose des questions éthiques, sans manquer les premiers signes de l'effet visuel. Dans la seconde moitié, le film s'accélère et la construction soigneuse de la dramaturgie s'effondre (un retournement que ni ses créateurs (c'est-à-dire même le scénariste lui-même) ne comprennent, lorsque RoboCop lui-même se fixe comme priorité de résoudre son passé plutôt que de s'occuper des crimes en cours, c'est le début de cet effondrement) et le passionnant film de science-fiction devient un simple divertissement d'action. Comme si le film avait été coupé et raccourci par les producteurs pour satisfaire les spectateurs plus consommateur, qui n'ont besoin que d'un simple divertissement d'action. Dommage. Les regards cyniques sur la politique internationale des États-Unis et quelques blagues réussies ("Je ne suis que du marketing !") témoignent du fait que le nouveau RoboCop aurait pu être un remake équivalent, un miroir intelligemment déplacé dans le nouveau millénaire. ()

claudel 

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français La première moitié du film, consacrée à la construction, aux tests et à la préparation de Robocop pour l'action, est désespérément ennuyeuse. La deuxième moitié est plus dynamique et un poil plus intéressante, mais pitoyable aussi par moments. Dans les années quatre-vingt-dix, j’avais vu Robocop 2 qui, pour moi, m’avait fait l’effet d’une série B moyenne. Robocop 2014 est une série B moyenne qui se prend pour une série A. D’un autre côté, le Detroit d’aujourd’hui aurait bien besoin d’un genre de Robocop ! En fermant les yeux, je vais mettre un petit trois étoiles. ()

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J*A*S*M 

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anglais Somewhere half-way. I don’t glorify Verhoeven’s classic, so I went into Padilha’s remake without prejudice, and yet it was unable to win me over in any significant way. As an action flick, the action scenes in Robocop aren’t exciting, and as a satire, it’s not sharp enough, even though it has some promising hints. Overall it’s unremarkably bland. ()

Malarkey 

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anglais A lot of movies influenced me throughout my childhood and Robocop was one of those movies. Which is why I thought I won’t be too happy about another 1980s action movie remake. But then I saw some reviews claiming that this remake wasn’t bad at all, which is actually why I decided to watch it. And I must admit that it had its upsides, especially actors like Samuel L. Jackson or Gary Oldman, who did all the hard work on this movie. Joel Kinnaman wasn’t quite as good as them. But why should he since he appears as a human in the beginning only to come back as an emotionless Robocop. I was also a little shocked that this movie didn’t have a proper story. They create a robo-human who is so perfect that he has no competition. Or at least until a dozen lunatics start shooting missiles at him that could tear a giant apart. ()

Isherwood 

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anglais Values (moral, personal, familial), likable anti-American critique (toothless, inoffensive), action with only one truly distinctive scene (the warehouse), and the strangled potential of wanting to play out at least one of the themes a little stronger. Or, it’s a perfectly Hollywood fluffy nothing that is held afloat only by Kinnaman's undeniable charisma. 3 ½. ()

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