The Broken

Une course glaçante et angoissante dans les décors sombres de Londres, d'autant plus fascinante que l'on ne sait pas vraiment ce qui se passe. Mystérieux, effrayant, basé sur d'excellents tours de caméra et de montage, avec des bruits et des effets surprenants qui surgissent plus tôt et de nulle part que prévu. Si seulement cela avait une conclusion signifiante, qui ferait de ce film un drame triste sur un sombre secret familial (au lieu d'une inexplicable et mystérieuse "hallucination" à la manière de X-Files), je lui donnerais la note maximale. D'ailleurs, c'est exactement comme ça que j'imaginais un jour le film Mirror de Alexandre Aja. (01/09/2011)

Decently atmospheric horror with attractive visuals. I think it’s very unlikely that Afterdark Horor Fest 2008 will deliver anything better. (21/03/2009)

J’ai halluciné quand j’ai découvert que c’était le même réalisateur qui était à l’origine des films Cashback et The Broken. Parce qu’autant Cashback signifiait pour moi une expérience fraîche et visuellement bien foutue, autant les quatre-vingt-dix minutes de celui-ci sont barbantes avec quelques scènes tendues çà et là et un dénouement dont je n’ai personnellement pas saisi le sens, le tout me laissant finalement perplexe. (31/12/2010)

"You have conquered, and I yield. Yet, henceforward art thou also dead - dead to the World, to Heaven and to Hope! In me didst thou exist - and, in my death, see by this image, which is thine own, how utterly thou hast murdered thyself." +++ From the beginning to the end, an oppressively disturbing atmosphere pervades the film, foreshadowed by an ominous quote from Edgar Allan Poe right at the beginning. Psychological games like the ones in The Broken can scare me far more than flowing streams of blood. (70%) (07/07/2021)