Résumés(1)

Jason Bourne a longtemps été un homme sans patrie, sans passé ni mémoire. Un conditionnement physique et mental d'une extrême brutalité en avait fait une machine à tuer - l'exécuteur le plus implacable de l'histoire de la CIA. L'expérience tourna court et l'Agence décida de le sacrifier. Laissé pour mort, Jason se réfugie en Italie et entreprend une lente et périlleuse remontée dans le temps à la recherche de son identité. Après l'assassinat de sa compagne, Marie, il retrouve l'instigateur du programme Treadstone qui a fait de lui un assassin et l'a condamné à l'errance. S'estimant vengé par la mort de ce dernier, il n'aspire plus qu'à disparaître et vivre en paix. Tout semble rentré dans l'ordre : Treadstone ne serait plus qu'une page noire – une de plus - dans l'histoire de l'Agence... Mais le Département de la Défense lance en grand secret un second programme encore plus sophistiqué : Blackbriar, visant à fabriquer une nouvelle génération de tueurs supérieurement entraînés. Jason est, pour le directeur des opérations spéciales, une menace et une tache à effacer au plus vite. Ordre est donné de le supprimer. La traque recommence, de Moscou à Paris, de Madrid à Londres et Tanger... (texte officiel du distributeur)

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Critiques (17)

claudel 

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français Je ne comprendrai jamais ce qui fait la magie de la trilogie avec Jason Bourne. C'est un film d'action tout à fait moyen, limite médiocre, avec des schémas répétitifs et un superagent indestructible et invincible qui est une machine à tuer et ne se souvient pas de son origine, court aux quatre coins de la planète, élimine les méchants et se bat contre l’organisation secrète qui l’a créé. Le scénario n’a aucune âme et semble avoir été écrit par un quelconque auteur de seconde zone. Et il est difficile de parler de scènes d’actions à couper le souffle ! J’ai déjà vu des films d’action nettement meilleurs avec de la vraie action et, en prime, un scénario correct. Il faut dire que parmi les trois volets, celui-ci est le plus riche en action et se laisse  regarder, mais de là à atteindre 90 % et à se classer dans le top 200, il y a quelque chose qui m’échappe ! J’ai toujours aimé Matt Damon et continue de l’apprécier, mais pas dans ce film-ci. J’espère d'ailleurs qu’il n’y aura pas de quatrième et que Damon sera plutôt sur le quatrième film de la série Ocean’s avec Danny et sa bande ! ()

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J*A*S*M 

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anglais Excellent conlusion to Jason’s story. It has the most thrilling action of all the Bourne series, Greengrass has made one of the best action films ever. With his frantic but well arranged style he would be able to turn a conversation with an old man over a cup of tea into a monumental action sequence. The Bourne Ultimatum moves forward at very high speed and without a single quiet moment, demanding a lot of focus from the viewer. It’s not very intellectual stuff, but if you stop paying attention for only a moment, you won’t know who is doing what and why, this is how fast this film is. I’m fully satisfied. ()

Lima 

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anglais Well, let's not mince words, there hasn't been such a dynamic and smart action film for many years. If with Die Hard 4 we were talking about "inventive action", compared to the final part of the Bourne trilogy Len Wiseman, it looks like a small town geezer talking about the perpetual motion machine with a rabbit poop drive, while Paul Greengrass is an elegant and sophisticated Thomas Alva Edison. I may have missed a more sophisticated script, as with the first two episodes, but I was still fascinated with Bourne's thoughtful actions, always one step ahead of his pursuers. I have no doubt that the Bourne trilogy will go down in the Hall of Fame of cinema history. ()

Isherwood 

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anglais The beginning gets going in just the way we expect from the director. Greengrass "only" continues the ride kicked off by the second installment, but more observant viewers will realize this by a third of the way through at the latest. Yet the mix of feelings about a flywheel that perhaps has nothing to offer is swept away by the action in Morocco, which turns it up to 120%, moving furiously across continents to nail the viewer into their seat in breathtaking action and plot twists revealing Jason's past. The whole world was expecting it, but the result pushes all expectations beyond imagination. And while we will all (deservedly) praise Greengrass for the fact that action thrillers will have their most synonymous character in Jason Bourne for a few years to come, let's finally kneel before Matt Damon. After all, it's only during the third time that we can fully realize that he’s the one who actually "made" the role. ()

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