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Check out who's checked in at the musty old King Edward Hotel in a seedy section of L.A.: Cheryl, a runaway teen who hopes to piece her life together. Little does she know that someone at the hotel has a nasty little penchant for chopping people into pieces. (Warner Bros. Home Entertainment)

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Goldbeater 

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français Hôtel, voyeurisme et perversion. Private Parts est un thriller à énigme au rythme très lent et dont la réalisation particulière est signée Paul Bartel. Andrew Davis (qui réalisera par la suite Le Fugitif) y manie la caméra avec brio. Au milieu du film, le tempo se relâche ; un meurtre par décapitation assez inattendu se produit assez tôt, suivi d’un looong moment où rien ne se passe – hormis l’inquiétante exploration des recoins d’un vieil hôtel occupé par des clients bizarres. Le tout prend ensuite rapidement une tournure plus légère évoquant une suite originale de Psychose d’Alfred Hitchcock soutenue par la musique captivante d’Hugo Friedhofer, mais sans grandes surprises ni appâts horrifiques. ()

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