La Dernière Maison sur la gauche

  • Belgique La Dernière Maison à gauche (plus)
Bande-annonce
États-Unis, 1972, 84 min (Édition spéciale : 91 min, Coupe du réalisateur : 64 min)

Résumés(1)

Mari Collingwood (Sandra Cassel), Phyllis Stone (Lucy Grantham) sont inséparables. Pour fêter le 17ème anniversaire de Mari, toutes deux décident de faire la fête, de rejoindre une bande de copains. En chemin, elles ont envie d'acheter de l'herbe, lorsqu'un jeune marginal, Junior, se propose de leur en procurer à bon prix, elles acceptent. Qui aurait pu savoir que le dealer faisait partie d'une bande de sadiques meurtriers emmenés par le terrifiant Krug. Une soirée qui devait se dérouler sous le signe de la joie tourne rapidement au calvaire. Pourtant, en faisant de ces jeunes filles leurs victimes, les bourreaux ne savent pas qu'ils viennent de signer leur arrêt de mort... (Wild Side Video)

(plus)

Critiques (2)

POMO 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

français Les parents ont-ils le droit d'exécuter le meurtrier de leur enfant ? Un sujet de discussion approfondie et un thème pour un film sérieux (voir La Source de la Vierge du réalisateur Ingmar Bergman). Cependant, le réalisateur Wes Craven et le producteur Sean S. Cunningham ne voulaient pas faire un film sérieux. L'humiliation sexuelle et la violence choquante sur les personnes sont mélangées avec de la musique hippie joyeuse et des démonstrations comiques de policiers de petites villes stupides. Et bien qu'ils perturbent de manière intéressante les clichés stylistiques des films de l'époque des enfants des fleurs, ils plongent leur œuvre dans les marécages de la provocation bon marché avec leur inexpérience en matière de cinéma. ()

J*A*S*M 

Toutes les critiques de l’utilisateur·trice

anglais 2.5* rather. This film’s biggest problem was my expectations of radical and raw horror, the kind that would be unbearable for people of a weaker nature. What I got instead was some sort of harsher crime-drama that is deliberately lightened-up in every other scene. On paper, the behaviour of the victims, the killers and the parents may look credible, but most of the performances are so terrible that the characters have hardly any effect on the viewer (and it could have been very impressive if at least the parents transmitted sadness, despair or rage). The comedy relief by the two incompetent cops is something I wish I hadn’t seen, it’s hard to imagine anything more out of place in a film like this. ()