Creep

  • Belgique Metro de la peur (plus)
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Londres, par une froide et triste nuit d'hiver... A minuit, au sortir d'une soirée chic copieusement arrosée, Kate guette vainement un taxi avant de se résoudre à prendre le dernier métro. Sous l'effet de l'alcool, la jeune femme ne tarde pas à s'assoupir. A son réveil, la rame est déserte... Affolée, Kate se dirige vers la sortie, mais les grilles sont déjà fermées. Un train s'arrête alors, elle y monte, quelque peu inquiète d'en être la seule occupante. Au beau milieu du tunnel, le convoi s'arrête brutalement, toutes les lumières s'éteignent... Et le cauchemar commence... (ESC Distribution)

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Critiques (4)

POMO 

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français <Žltovlasá Franka Potente id='1998'> se promène dans les tunnels du métro londonien vêtue d'une robe jaune à fleurs et au lieu d'avoir un rendez-vous avec George Clooney, elle sort avec un mutant humain déformé repoussant qui désire violer des femmes sur une chaise gynécologique avec une machette affûtée. Christopher Smith ne parvient pas à créer ne serait-ce qu'une atmosphère oppressante similaire à celle que John Landis a créée en quelques minutes dans son film "Un Américain à Londres" (1981) ; les premières émotions du public n'arrivent qu'avec le dégoût et la brutalité. Donc, un cas triste similaire au nouveau "Massacre au Texas" où nous n'avons pas dû attendre les deux tiers du film pour ressentir ces émotions "gratifiantes".> ()

J*A*S*M 

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anglais I don’t understand the aversion towards this film, I think it’s a fairly good, little horror flick. But I have a weak spot for stories set in underground spaces, so it’s possible that it doesn’t work on other people. For me 70% ()

DaViD´82 

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anglais At first nothing happens and the movie’s head is kept above water only thanks to the “story’s" appealing atmosphere, then we comes one really snappy line, but nothing else happens. Then the fount of all evil comes on the scene and... and nothing happens again, then at last some unintentionally funny scenes come along and then, mercifully, it’s the end. The picture isn’t saved by having Franka Potente in it or by having a social lesson at the end ,-) One of those movies that show that even a movie lasting less than ninety minutes can be far too long. ()

kaylin 

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anglais Metro is a British-German production that plays it safe, covering familiar ground. It is a predictable horror movie the viewer has seen many times before. Moments of suspense are interspersed with moments of relative boredom. Here and there, someone dies horribly, and then it just ends. ()