Next of Kin : Cousins de sang

  • France Montclare : Rendez-vous de l'horreur (plus)
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Australie / Nouvelle-Zélande, 1982, 89 min

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Linda Stevens hérite du domaine de Montclare à la mort de sa mère. Ce vaste manoir aux allures gothiques, perdu dans le bush australien, fut transformé, en 1950, en maison de retraite par la mère et la tante de Linda. Une trentaine d'années plus tard, Linda prend donc les rênes de l'établissement. Peu à peu, la jeune femme est troublée par divers événements : un pensionnaire retrouvé noyé, des cauchemars liés à sa petite enfance, et la sensation oppressante qu'un intrus rôde dans les lieux. Trouvant le journal intime de sa mère, Linda découvre que celle-ci était en proie aux mêmes troubles… Montclare serait-il le théâtre de phénomènes étranges ou un tueur s'est-il invité dans la maison ? (Le Chat qui Fume)

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Critiques (4)

Goldbeater 

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français Une aventure lente, mais néanmoins impressionnante quelque part entre le slasher et le film d’horreur gothique. Celle-ci se déroule dans les murs sinistres d’un sanatorium où remontent à la surface de vieux secrets de famille. Bien sûr, le sujet n’a rien de bien original, mais la force de cette « ozploitation », c’est avant tout les talents du réalisateur Tony Williams et plus particulièrement son don pour construire les ambiances et les éléments visuels (notamment les mémorables séquences au ralenti et oniriques) combinés aux prouesses de Gary Hansen à la caméra et à la musique énergique de Klaus Schulz. Le tout ne manque pas de faire forte impression. Une autre surprise : la performance de Jacki Kerin dans le rôle de l’héroïne principale ; j’ai totalement cru à la rage et à l’impuissancequ’elle exprime à la fin du film et ça faisait longtemps que je n’avais pas assisté à une hystérie aussi authentique (ce qui m’a rappelé la fuite notoire de Marilyn Burns dans Massacre à la tronçonneuse). Un film d’horreur oublié pourtant d’une qualité étonnante. À voir ! ()

Quint 

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anglais Tony Williams manages to extract more than you would expect from an unknown director from a bland gothic haunted house tale full of hackneyed clichés. Just the fact that the film is set in the middle of the Australian outback makes it special in itself. It's an Australian film, but it feels very European. Most memorable, however, is its obscure atmosphere, evoking a sense of vague menace whose origins are not clear until the end of the film. The moments of greatest terror, shot in slow motion, have a surreal and otherworldly quality. The frequent steadicam passages through corridors and dreamy bathroom scenes are a little reminiscent of Kubrick's The Shining, but without feeling like the film is ripping it off. You can tell in every shot that it was carefully planned, and the sets of the house where the film takes place were all carefully tailored to everything. All that's missing to make Next of Kin a horror masterpiece is a more polished plot. The film wasn't seen by many audiences in its time, and if it wasn't for Quentin Tarantino (who considers it the best Australian film ever made), it would probably have fallen into obscurity. But it will finally be dusted off in full glory on Blu-ray this summer, along with other Australian genre gems. ()

kaylin 

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anglais All the time I was thinking: Is this an Australian horror? It has so much in common with Italian giallo, even with great music, that I had to make sure of it. Excellently tuned mysterious horror, which is labeled as a slasher, but the giallo label suits it better. It's not explicit, well, not much, but it is more atmospheric and scary. ()

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