Halloween 6 : La malédiction de Michael Myers

  • États-Unis Halloween: The Curse of Michael Myers (plus)
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Six ans après avoir mystérieusement disparu, Michael Myers revient pour se venger. Sa nièce, Jamie Lloyd, qu’il avait mise enceinte et retenue en otage, a réussi à lui échapper. Traquée sans relâche, elle décide de retourner à Haddonfield, ville dans laquelle tout a commencé… (StudioCanal)

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Critiques (3)

Goldbeater 

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français Sur le plan narratif, les deux versions de ce film sont tout aussi foireuses et poussent la légende de Michael Myers dans une direction que personne ne souhaite. Mais, à choisir, la « producer’s cut » (la version originale) est incontestablementmeilleure et plus regardable à tous les niveaux. Au moins, on y trouve les bases cinématographiques telles que la continuité des scènes, un cadre d’intrigue, un montage correct, un accompagnement musical de qualité et, surtout, une sélection de scènes respectueuse de feu Donald Pleasence. La version cinéma (soumise à des prises et à un montage ultérieurs) n’offre rien de tout ça ; à part des meurtres en plus, c’est un échec total résultant de la terrible obstination du réalisateur et des producteurs. Quand même, si un film est bouclé et que son acteur principal décède, on ne se met pas à tourner de nouvelles scènes pathétiques et à faire une croix sur la pertinence du dénouement ! Le seul résultat possible, c’est l’insulte au spectateur – et c’est exactement ce que cette version est. Le docteur Loomis aurait mérité un adieu plus digne, par exemple dans H20. ()

kaylin 

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anglais "Halloween - The Curse of Michael Myers" is a beautiful example of how to set a series in terms of quantity, but completely disregard quality. There is an attempt to revive the series, no doubt, but it is done in a way that is not the best. The newly created mythology hurts what has been created so far and turns it into an overly cluttered mess, which is a great shame. ()

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Isherwood Boo !

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anglais When I cried out for any kind of innovation after the fifth installment, I had no idea what a director's innovative approach could do to this film. Joe Chapelle definitely hasn't studied the history of slasher films because Michael mows people down like any other below-average redneck from routine teen murder movies, i.e., unimaginatively. Instead of darkness, epileptic editing flashes at us from everywhere, supported by industrial music with movement insertions in the form of human screams or moans. You could understand this in the mid-nineties (the times are moving forward), but in terms of infantilism, the script once again trumps the previous film. And if we prefer not to look for logic, at least the filmmakers could have chosen some point of contact and brought this theme to some kind of resolution. Unfortunately, we don’t get even that. This film hit rock bottom because, after this, the next two films (so far) can’t get any worse. Donald Pleasence’s bitter farewell. Amen. ()

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