Résumés(1)

Informed that his sick son, Julio, will soon die of heart disease, crazy Dr. Krellman does what any good mad doctor would do and gives Julio the heart of a gorilla. Oops. The transplanted ape heart somehow or other turns the frail young man into a "horrible half beast, half man" with the body of a muscleman and the face of a (sort-of) monkey. In a hilarious frenzy of over-the-top gore and gratuitous nudity, Julio-the-Half-Ape immediately runs through the streets attacking women and mutilating men. Why? 'Cause it's what monsters DO. Quickly deducing that "the heart of a gorilla is much too potent for any human," Dr. Daddy surgically swaps Julio's simian heart with one taken from -are you ready?- a female wrestler. Double oops. Yes, Julio once again turns into a big-boned gorilla man, only this time in pajamas... (texte officiel du distributeur)

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Critiques (2)

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Goldbeater 

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français Un remake, par le réalisateur, de son film Las luchadoras contra el médico asesino. Un docteur est prêt à tout pour sauver la vie de son fils gravement malade et, pris de désespoir, il lui transplante un cœur de gorille. Mais l’homme-gorille prend peur, s’enfuit et tue plusieurs personnes en chemin – surtout des femmes nues. Et ce n’est pas tout : voilà que des catcheuses mexicaines se joignent elles aussi à la fête – mais bien sûr ! Pour 1969, c’est une histoire assez crue avec des têtes tranchées, des yeux arrachés et une transplantation d’organes réaliste, ce qui a notamment valu au film de se retrouver sur la liste des « video nasties ». Cela dit, sur tous les autres plans, ce n’est qu’une pâle copie de Frankenstein qui, à de nombreuses reprises, est involontairement drôle (pendant ses escapades, l’homme-singe émet des grognements et autres bruits franchement bizarres). Le montage de la bande-son (et de la piste d’accompagnement musical, en particulier) dans les scènes centrales est un pur désastre ! Peut-être est-ce dû au fait que des scènes violentes ont été retirées pour cause de censure et réinsérées par la suite ? Quoi qu’il en soit, les mauvais raccords dans la musique sont vraiment perturbants. Le jeu des acteurs est lui aussi catastrophique, mais dans l’ensemble, c’était plus ou moins ce à quoi je m’attendais. ()

kaylin 

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anglais Night of the Bloody Apes plays a lot on the fact that its main domain is gore, which is present here to quite a harsh degree, and thus the viewer gets to see really nasty scenes that almost surprise. Throw in some nudity, a wacky story, Mexican wrestling and a mad scientist. This is such a beautifully stupid combination that you either condemn it or you have fun with it. And I had fun. ()