Conann

Bande-annonce 2

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Gardien des enfers, le cerbère a toujours sa gueule de chien, mais il est bipède et s’appelle Rainer, a les seins et la voix d’une femme, un blouson de cuir clouté et un appareil de paparazzi toujours prêt à lancer ses flashes. Depuis l’au-delà, il nous raconte les réincarnations successives de Conann la barbare, amazone sanguinaire venue de la nuit des temps. Méliès queer du viscéral et du pulsionnel, Bertrand Mandico promène sa lanterne magique dans une préhistoire fantasmée, mais aussi de nouvelles boutiques des horreurs, à la fois en couleur et en noir et blanc. (Cannes Film Festival)

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Goldbeater 

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français Conann est une interprétation moderne et originale de l'histoire de Conan le Barbare qui captive dès les premières secondes avec son esthétique non conventionnelle et inventive. Cela dit, il manque cruellement d'une bande sonore mémorable et énergique qui compléterait ces visions fantastiques, comme Basil Poledouris a pu le faire pour le classique Conan le Barbare. Il faut quand même ajouter que par sa structure réincarnationnelle, le film déraille à plusieurs reprises dans ses dernières minutes et la toute fin n'est rien d'autre qu'une soupe diluée et un pur délire d'auteur. [Shockproof Film Festival 2023, sélection d'automne] ()

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