Charlie et ses drôles de dames

  • États-Unis Charlie's Angels (plus)
Bande-annonce

Résumés(1)

Eric Knox, le séduisant fondateur de Knox Technologies, vient d'être kidnappé dans l'enceinte même de son entreprise. Knox a conçu un logiciel informatique révolutionnaire et ultrasecret qui, s'il tombait entre de mauvaises mains, mettrait en danger la vie privée de tous ceux qui approchent un ordinateur... La présidente de Knox Technologies, Vivian Wood, sait qu'il n'y a qu'un homme, Charlie - et ses trois jeunes détectives aussi sexy qu'intelligentes - pour sauver la situation. Natalie, Dylan et Alex se lancent sur la piste de Knox avec l'aide de leur fidèle lieutenant, Bosley. Les drôles de dames s'intéressent d'abord à Roger Corwin, rival de Knox et propriétaire de Red Star Systems, le plus grand réseau de télécommunications par satellite du monde. Pour infiltrer le cercle des proches de Corwin, les trois jeunes femmes ne reculent devant rien, multipliant les fausses identités et les petites merveilles technologiques. Tour à tour geishas, pilotes de course ou danseuses du ventre, elles accumulent les indices et découvrent peu à peu la terrifiante ampleur de la menace. L'équipe de choc et de charme va devoir jouer serré car cette fois, ce n'est pas seulement leur affaire la plus importante et la plus dangereuse, c'est aussi celle qui peut leur coûter la vie... Bonne chance les filles ! Vous allez en avoir besoin... (Sony Pictures Releasing France)

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Critiques (2)

Lima 

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anglais It’s impossible to get mad at this kind of deliberately stylized bollocks. Turn your brain off, stick your hand in the popcorn or something else, put on an amusedly ironic smile and it won’t even matter that it's stupid, what matters is that Lucy Liu flips her hair and Drew Barrymore is great behind the steering wheel. ()

JFL 

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anglais Charlie’s Angels is deliberate fluff, a self-reflexively exaggerated jiggle flick with playfully objectified superficiality. Or it’s simply boisterous entertainment that takes the basic strengths of the 1970s series on which it’s based (the concept, exaggeration, outfits, insipid missions, espionage and a bunch of familiar faces) and spins them into an unbridled, exuberantly wild ride at the peak of the MTV era, where excess, absurdity and hyper-stylisation keep the pedal to the metal while logic, causality and realism are bound and gagged in the trunk. “Never send a man to do a woman’s job.” ()