Inglourious Basterds

  • Canada Le Commando des bâtards (plus)
Bande-annonce 2
États-Unis / Allemagne, 2009, 153 min (alternative 147 min)

Résumés(1)

Dans la France occupée de 1940, Shosanna Dreyfus assiste à l'exécution de sa famille tombée entre les mains du colonel nazi Hans Landa. Shosanna s'échappe de justesse et s'enfuit à Paris où elle se construit une nouvelle identité en devenant exploitante d'une salle de cinéma. Quelque part ailleurs en Europe, le lieutenant Aldo Raine forme un groupe de soldats juifs américains pour mener des actions punitives particulièrement sanglantes contre les nazis. "Les bâtards", nom sous lequel leurs ennemis vont apprendre à les connaître, se joignent à l'actrice allemande et agent secret Bridget von Hammersmark pour tenter d'éliminer les hauts dignitaires du Troisième Reich. Leurs destins vont se jouer à l'entrée du cinéma où Shosanna est décidée à mettre à exécution une vengeance très personnelle... (Potemkine Films)

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Vidéo (4)

Bande-annonce 2

Critiques (17)

POMO 

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français Avoir seulement deux personnages délicatement élaborés et enveloppés dans une histoire lors d'un Tarantino de deux heures et demie (Christoph Waltz, Mélanie Laurent), dont aucun n'est des "Bâtards", cela ne peut pas être pardonné. Les "Bâtards" eux-mêmes ne font que border faiblement le film - leur potentiel a commencé dans la bande-annonce et s'est terminé au montage. Tous les autres éléments *Cinema Paradiso*. ()

claudel 

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français Quand je me décide à regarder un film de Quentin Tarantino, je dois d’abord me rappeler que je rentre dans son univers délirant et que je me soumets à ses modalités. Si je ne prévoyais pas les choses de cette façon, je pourrais me retrouver fâché, déçu, indigné, contrarié, etc. Je ne suis ni un fan inconditionnel ni un farouche détracteur. Simplement, je pars du constat que je ne suis pas hermétique à sa personne et à ses films, jugeant ces derniers un par un, sans contexte ni continuité. Je n’ai pas été emballé par Boulevard de la mort, mais par Inglourious Basterds, oui. Tout d'abord, parce que je suis germanophile et francophile et que les trois quarts du film sont exprimés dans mes deux langues étrangères de prédilection, puis parce qu’on y voit mes deux actrices préférées (allemande et française, forcément) et, enfin, que Christoph Waltz est tout simplement exceptionnel. Waltz n’a d’ailleurs aucune concurrence cette année et son « chasseur de juifs » vicieux, superintelligent et sadique ne peut laisser personne indifférent. En gros, le tout est magnifiquement tourné, accompagné d’une musique splendide et abondante, et interprété par une pléthore d'acteurs européens renommés. ()

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J*A*S*M 

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anglais Surprisingly, Tarantino has fulfilled his promise and made a film that in his post-2000 filmography will have the same privileged status as Pulp Fiction had in the 1990s. You could praise pretty much everything about it, from the performances, through the script and the sharp dialogues, to some perfectly directed scenes (the beginning, the climax in the cinema, Shoshanna’s getting ready…). Inglourious Basterds is the best film I’ve seen in the cinema so far this year and I think District 9, Antichrist and Avatar are the only ones with chances to be better. PS: The last line of the film could have been said by Quentin himself. ()

Lima 

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anglais Tarantino has the craft down pat. He's great at leading actors, he's got a sense of timing, and his dialogue scenes have more punch than all of Bay's action scenes with screaming robots put together, but I can't digest the story he presents with the best of wills. The first chapter is phenomenal. It has everything: a great build-up, a sultry atmosphere, the suspense of what will inevitably come at any second, and the perfect entry of an extremely charismatic asshole. But the rest of the film, in my eyes, teeters on a thin line between sparse admiration and feelings of awkwardness, between what I am still logically willing to accept and what I am no longer. Narrative excess is fine, but everything has its limits, Quentin. ()

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