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Après avoir frappé à trois reprises Woodsboro, après avoir terrorisé le campus de Windsor et les studios d’Hollywood, Ghostface a décidé de sévir dans la grande pomme, mais dans une ville aussi grande que New-York personne ne vous entendra crier. (ESC Distribution)

Vidéo (13)

Bande-annonce 7

Critiques (9)

Goldbeater 

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français Il est peu probable qu’une franchise d’horreur ait jamais atteint un sixième volet sans subir un certain épuisement de la matière. Mais ici, cet épuisement est si minime et si peu perceptible que le tout reste vif, divertissant et palpitant. Les séquences d'horreur fonctionnent impeccablement en tant que telles, tandis que l'ensemble prête à rire, mais intentionnellement. Aucun Scream jusqu’ici n’a encore vraiment déçu et celui-ci ne fait pas exception. ()

POMO 

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français Ghostface débarque à Manhattan. La révélation finale est à nouveau tirée par les cheveux, et cette fois un peu ridicule. Mais le décor new-yorkais est un agréable rafraichissement de la saga. Il y a quelques scènes surprenantes comme celle de la supérette (le tueur frappe sans vergogne même dans un lieu public), des scènes au potentiel énorme mais sous-exploité (le métro), et encore une fois de multiples coups de poignard dans l’estomac après lesquels les personnages continuent de fonctionner comme si de rien n’était. La franchise relancée avec succès est en train de tourner à la redite dynamique mais pas très intelligente pour public adolescent qui pourrait se perpétuer à l’infini. Une demi-étoile de moins que le cinquième volet qui précède. La scène la plus sympa se trouve après le générique de fin. ()

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claudel 

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français Et revoilà un Scream ! C'est une boucle sans fin, mais ça ne me dérange pas, ça continue de me divertir. Les innovations sont essentielles et ce volet apporte certaines nouveautés, ce qui permet de voir l'évolution depuis le premier épisode jusqu'à maintenant. Malheureusement, ayant lu et vu beaucoup de thrillers et de récits d'horreur similaires, les « surprises » et les rebondissements me viennent à l'esprit dès le début, ce qui me déçoit un peu. Mais c'est sympa quand même, et Jenna Ortega est à croquer. ()

J*A*S*M 

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anglais It’s still good horror entertainment between three and four stars. In the end, I’m giving it the lower rating to make clear that the fourth and fifth instalments were much better for me. Plot-wise, it is a compilation of familiar stuff, with similar twists and turns and denouements to what we have already seen in the series, maybe just a bit more absurd. I'm a bit disappointed that the creators didn't take it to another level and offer something more ambitious. For example, to show the cards so that the viewer knows from the beginning who is hiding under the mask (and only guesses the motive), or to make the villain directly out of the main character, especially since both options are implied in this new sequel. Unfortunately, this promise never comes to fruition, so the final form ends up looking rather familiar. But the more significant problem for me is the downright dead meta plane. In the year since the premiere of the previous installment, logically "nothing fundamental has happened" in the horror genre, so there is nothing to respond to, nothing to comment on, nothing to paraphrase (on the contrary, the fourth and fifth installments benefited mightily from longer delays). And "franchise" as the referent to which the latest installment refers is too elusive to base any meaningful meta-games on. I wouldn’t be against another sequel, but I would wait at least five years. ()

Lima 

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anglais "Liposuction for everyone!", or looking at Courteney Cox here, I wonder if this wasn't originally made as a sequel to The Mummy. Man, why can’t Hollywood actresses age naturally? And the film itself? Well, it actually it needs a heavy dose of botox, a dose of botox of invention, because this is nothing but a compilation of what we've seen many times before and even breaking the fourth wall in one scene doesn't help. ()

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