Résumés(1)

Pour lancer le premier parc d'attraction sur le thème de l'horreur et du surnaturel, le richissime Steven Price offre un million de dollars à toute personne qui passera une nuit dans un ancien institut psychiatrique. Un million de dollars pour une nuit blanche ... pour une nuit d'horreur.Dans les années 30 les malades s'y sont révoltés et un véritable massacre s'en suivit. Cinq personnes acceptent pourtant le défi. Inexplicablement les "invités" se retrouvent prisonniers de l'inquiétante clinique où plane toujours la folie meurtrière de ses anciens locataires. S'agit-il d'un tour macabre ou d'une réalité beaucoup plus effrayante? Une nuit de terreur commence. Qui pourra survivre ? (Belga Films)

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Critiques (2)

J*A*S*M 

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anglais Oh, that was another waste of time. Unlikeable characters led by an eccentric millionaire whom I would love to kill with my own hands, a confusing and illogical plot and a final surprise in the form of a CGI monster that ruined it completely. A lot more could have been done with that house. It’s a shame. ()

Goldbeater 

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français Le réalisateur William Malone et le scénariste Dick Beebe ont mis l’histoire originale en capilotade. Je n’ai absolument rien contre un remake, mais il va de soi que l’intrigue originelle a besoin d’être assaisonnée – mais pas de la façon dont c’est fait dans cette parodie à la noix ! Le démarrage est prometteur, mais ensuite, chaque minute écoulée dans la maison de l’horreur laisse place à une pléiade toujours plus abondante des pires tendances du cinéma d’épouvante qui venait à l'esprit des créateurs – sans parler des dialogues eux-mêmes totalement épouvantables prononcés par des personnages génériques. Le millionnaire excentrique incarné par Geoffrey Rush est l’exception qui confirme la règle et, par son amusant caractère malicieux, me permet de donner au moins une étoile à La Maison de l’horreur. Dans tous les autres aspects, c’est un méli-mélo sans ambiance. Et apparemment, les éclairagistes ont essayé d’améliorer les choses par des éclairs incessants et une lumière forte et omniprésente aux ondulations intrigantes. La coproductrice Terry Castle n’a décidément pas réussi à honorer son père avec ce film. ()