claudel

Je n’ai pas tellement adhéré à la façon dont la vie de Gainsbourg a été dépeinte dans cette œuvre, mais ce n’est qu’une question de goût. Or comme je suis son grand fan, certaines de mes attentes ont été satisfaites. Ce qui m'a le plus déçu, c'est que mes deux chansons préférées de l’artiste, Je suis venu te dire que je m’en vais et Ne dis rien, n'étaient pas dans la BO. :-(

Je continuerai de défendre Adam Sandler bec et ongles, même sous la torture ou les tentatives de persuasion par des appâts juteux. Car pour moi, il est le plus grand comique du moment et ce n’est pas pour rien que les Tchèques utilisent le mot « sandlerovky » pour désigner les « films sandleriens ». De mon côté, ce terme évoque une comédie imprégnée d’un humour pouvant être délicat, rude, voire dégoûtant, mais qui offre toujours en filigrane un message moral, une leçon, une conclusion. Et dans Copains pour toujours, cette tendance établie se poursuit. J’ai d’ailleurs l’impression que Sandler a atteint son apogée ; ma copine et moi, tout comme le reste des spectateurs présents dans la salle, avons ri pratiquement du début à la fin. Quoiqu’en disent les détracteurs de Sandler et bien qu’on ne parle pas de comédie du genre le plus noble, il ne doit pas être facile de concevoir un tel film et d’écrire un tel scénario.

Un beau film d’animation avec une histoire faiblarde et un ours attachant.

Pratiquement tout m’a semblé prévisible. La réalisatrice Drew Barrymore m’a sérieusement tapé sur les nerfs avec son rôle. Ellen Page a déjà fait ses preuves depuis un moment, mais ce n’est pas avec ce rôle-ci qu’elle se démarque. Un film tout à fait moyen – ni plus ni moins.

Un film intimiste dans toute sa splendeur. Colin Firth et Julianne Moore sont parfaits, Matthew Goode et Nicholas Hoult ne sont pas en reste. Certaines scènes sont visuellement marquantes et la partie la plus forte, c’est quand George rend visite à Charley. Une histoire excellente, une musique excellente… Colin Firth mérite un Oscar !!!

Christopher Nolan mérite la reconnaissance pour sa créativité et son énorme contribution au cinéma mondial. Ici encore, il nous propose quelque chose de nouveau et de superbement léché. Toute l'histoire est merveilleusement bien conçue et s’appuie sur une bonne dose d'imagination. Par ailleurs, certaines scènes sont esthétiquement très plaisantes. Personnellement, j’ai un faible pour les scènes aquatiques… Et Tom Hardy est vraiment la découverte de ces dernières années !!!

Du point de vue des costumes et de la narration, il n’y a rien à redire. Par contre, niveau contenu, ça tire en longueur. Seuls les plus mordus s’enthousiasmeront à la vue de Rachel Weisz philosophant avec enthousiasme sur l’univers, qu’ils soient fans de l’actrice ou astronomes, physiciens ou scientifiques d’une autre spécialité. Les scènes palpitantes alternent avec d’autres, vides et ennuyeuses. Je dois d’ailleurs ajouter que je ne suis pas très au fait de cette partie de l’Histoire, donc j’ai eu du mal, presque jusqu’à la fin, à comprendre qui était avec qui et pour quelle cause on se battait ! :-)

Une bande-annonce bien ficelée qui fera baver tous les fans de films d’action. Par contre, pour les rôles féminins dans un tel film, je préfère Michelle Rodriguez à Jessica Alba.

On rencontre dans ce film deux acteurs qui se démarquent grandement en matière d’intelligence et d’éducation : Ed Norton, l’acteur peut-être le plus cultivé et le plus intelligent de la planète, et Colin Farrell, vulgaire et primitif à souhait. Leurs qualités d’acteurs sont indiscutables, mais moi, de par ma personnalité, je respecte et apprécie énormément Norton, tandis que j’ai longtemps eu du mal avec Farrell, surtout après une interview pour la revue Cinema qui m’a mis en colère et m’a incité à me demander comment un tel plouc pouvait recevoir un rôle quelconque. Mais avec Phone Game, Miami Vice et Bons Baisers de Bruges, j’ai commencé à le percevoir sous un angle légèrement différent et à le reconsidérer. Le Prix de la loyauté n’est pas sans rappeler Au bout de la nuit, que j’ai vu récemment, et je le trouve encore un peu plus dur. Au final, mon impression générale est plus que bonne.

Encore un film dans la lignée des comédies romantiques contes de fées avec morale à la clé (cf. Click et Charlie, les filles lui disent merci), le genre qui m’emballe assez que pour que je lui colle cinq étoiles malgré toutes les critiques acerbes. Matthew McConaughey, quelle prestation ! J’ai l’impression que le rôle lui convenait idéalement et, bien que je ne connaisse pas sa vie privée (je ne lis pas la presse à scandales), je dirais qu’il a un peu dû jouer sa propre personne. Jennifer Garner est sympathique comme toujours et Michael Douglas se retrouve dans une position similaire à celle d'Alec Baldwin auparavant – il a hérité du vieil homme lubrique et dégoûtant, mais bon, vu que c’est bien joué… Quant à Robert Forster et son courage au moment de prononcer son discours de mariage, ça se passe de commentaire. J’ai ri comme une baleine à maintes reprises ! Et pouvez-vous vous représenter Dean Martin qui, au lieu de Everybody Loves Somebody, boit de l’eau d’un bidet et chante l’hymne canadien en espagnol ? :-)