The Whale

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Charlie, professeur d’anglais reclus chez lui, tente de renouer avec sa fille adolescente pour une ultime chance de rédemption. (ARP Sélection)

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Bande-annonce 4

Critiques (12)

Ivi06 

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français Cela faisait longtemps qu’un film n’avait pas réussi à susciter en moi autant de tristesse, de pitié et de compassion, et c’est d’autant plus surprenant que ce soit Darren Aronofsky qui y soit parvenu. Je suis consciente qu’il s’agit d’un réalisateur très respecté, mais ses films ne font pas exactement partie de mes préférés, et je ne ressens pas le besoin de les revoir (à l’exception de Requiem for a Dream). Ce film ne fera probablement pas exception, mais il m’a certainement plus séduite que ses films précédents. Outre la musique très envoûtante, The Whale repose principalement sur la performance de Brendan Fraser, qui est extraordinaire... Si l’on considère la façon dont il réussit, en raison des mouvements limités de son corps, à tout exprimer avec sa voix, son visage, ses expressions, ses mimiques, ses yeux… la performance est incroyable. Sadie Sink est sans aucun doute une jeune actrice talentueuse, mais son personnage ne m’a malheureusement pas été sympathique. Bien sûr, je peux comprendre d’où vient sa colère, sa rage, son amertume, voire même sa haine... mais je n’ai pas trouvé de chemin pour me rapprocher d’elle. Elle était méchante du début à la fin et le seul indice d’une réconciliation à la dernière seconde du film n’a pas suffi à m’attendrir. Il s’agit néanmoins d’un film intéressant et novateur, qui a réussi à me transporter sur le plan émotionnel. ()

Goldbeater 

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français En matière de sentiments et de larmoiements, Darren Aronofsky a mis le paquet et, même si je n’ai pas l’impression qu’il verse dans le chantage émotionnel, je pense que ce ne sera pas du goût de tout le monde. En ce qui me concerne, j’ai tenu le coup, et ce, grâce à la performance presque hypnotique de l’acteur principal. Parce que s’il y a une chose à mettre en avant et à retenir à propos de ce film, c’est Brendan Fraser. Presque tout repose sur lui et sur sa graisse, autant que son cœur et ses vaisseaux sanguins le lui permettent. J’ai aussi aimé le fait qu’Aronofsky ait misé cette fois-ci sur quelque chose d’un peu plus civil, intimiste et direct que d’habitude, faisant l’impasse sur son arrogance excessive. Sauf peut-être pour l’overdose de larmes, je mets un gros (et gras) pouce en l’air. [Vancouver International Film Festival 2022] ()

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POMO 

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français The Whale offre un mélange équilibré de psychologie intimiste et d’émotion touchante. Le film est captivant, en particulier grâce à un personnage principal comme le cinéma n’en avait jamais connu auparavant, choquant par son apparence mais dont on prend plaisir à explorer l’intériorité. Brendan Fraser, avec un maquillage incroyable, est excellent, et il est parfaitement secondé par Sadie Sink dans le rôle de sa fille. Leurs rencontres à l’écran débordent d’émotions non exprimées, de colère causée par les blessures subies d’un côté, et de regrets de l’autre. Alors oui, le personnage de Fraser s’apitoie trop sur son sort et sa découverte de l’importance de l’honnêteté dans la vie est risible, mais malgré cela, The Whale reste un film beau et sensible, qui ne manque pas d’apports artistiques de la part de son auteur. ()

Marigold 

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anglais An acting masterclass combined with a masterclass in unnecessary directorial manipulation. If Darren had reined in his desire to drag the viewer into a fit of transcendent emotion and had carried the film through to the end as an intimate story about a human mass of guilt and loneliness, it might have had the punch that he last achieved in The Wrestler. Unfortunately, however, this is how the redemption of a self-destructive man becomes more distant the more the director tries to make it poignant. Fraser, on the other hand, deserves maximum respect, as he account for all of the humor and humanism in this dubious dramatic cetacean. ()

Kaka 

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anglais If this were a raw last confession of a lost human soul without any pretensions and all sorts of gimmicks, it would be an absolute blast. The Whale shouldn't have been made by the master of allegories, Aronofsky, who combines uncompromising depression with religious motifs, art literature, and strange human creatures that might not be there at all – I was just waiting for parallel universes and other dimensions to appear. Two stars for the phenomenal Brendan Fraser and the moments when the film is exactly the coherent genre composition it should be for the entire runtime and not just a few fragments. ()

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