A Divisão
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Rio de Janeiro, 1997. La ville se tape onze kidnappings par mois, la population a les boules et le gouvernement est impuissant. Le modus operandi des flics est aussi efficace qu’un Google trad pour les chansons d’Aya Nakamura, et le haut commandement décide de changer la donne : Mendonça, flic incorruptible avec plus de cent macchabées au compteur, prendra en charge la fameuse Division avec Santiago « All Stars », un ripou qui a la sale habitude de faire chanter les criminels au lieu de les arrêter. Le message officiel est clair : la police sonne la fin de la récré. Officieusement, notre duo de choc va rendre la légalité très flexible avec des méthodes aussi brutales que payantes. Mais l’enlèvement de la fille d’un sénateur va mettre leur collaboration à rude épreuve… (Brussels International Fantastic Film Festival)
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Critiques (1)
How do you get justice in a country where police officers generally use the same practices as criminals? The Division is a rather raw film, which perhaps lacks emotion because of that. I was quite annoyed by the gentleman behind the camera, who was often unable to focus it properly. If only someone had tried to fix it with a more dynamic edit. I could do without those gratuitous slow-motion shots as well. I also have reservations about the length of the film. It could have been half an hour shorter because sometimes it loses its pace and seems too long. (45%)
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Photo © AfroReggae Audiovisual
