Réalisation:
Jeffrey A. BrownScénario:
Jeffrey A. BrownPhotographie:
Owen LevelleMusique:
Roly PorterRésumés(1)
D’emblée, la caméra s’attarde, troublante, sur les fonds marins, l’immensité de l’océan et l’environnement naturel entourant la maison sur la plage. Randall et Emily y passent un week-end mais découvrent que le père de Randall l’a également prêtée à un couple plus âgé. Ce soir-là, Emily évoque avec passion l’astrobiologie et la capacité – ou non – des organismes à s’adapter à des milieux hostiles. Des paroles prophétiques au regard des changements radicaux qui se produisent à l’extérieur. L’horreur SF complexe de Jeff Brown, aux accents de Guerre des mondes, est une réflexion sur la fragilité d’un monde centré sur l’homme. (Strasbourg European Fantastic Film Festival)
(plus)Vidéo (1)
Critiques (1)
Un jeune couple d’amoureux se rend dans une maison isolée sur l’une des plages de la côte est des États-Unis. Avec la promesse de vacances à l’écart de la civilisation, ils se réjouissent du temps qu’ils passeront rien qu’à eux deux. Le hic, c’est qu’un couple âgé se trouve aussi dans la maison avec l’intention d’y séjourner. Enfin, ça, c’est finalement un problème mineur, parce qu’une menace nettement plus terrifiante les guette tous depuis la mer. Je ne tiens pas à dévoiler l’élément clé ni gâcher le suspense qui est si méticuleusement élaboré dans ce film qui est presque un body horror ; c’est à chacun de le découvrir. Le film a son propre tempo et je n’ai pas totalement adhéré à la fin qui tourne un peu à vide, mais dans l’ensemble, je suis ressorti de ce film lent avec une impression plutôt positive. Par contre, ça ne vous remplit pas d’optimisme. [Sitges 2019]
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