Répertoire des villes disparues

  • anglais Ghost Town Anthology
Bande-annonce 2

Résumés(1)

À Irénée-les-Neiges, bourgade perdue de 215 habitants, Simon Dubé perd la vie en voiture. Choqués, les gens n’osent trop parler des circonstances de la tragédie. Dorénavant, pour la famille Dubé, la mairesse Smallwood et une poignée d’autres, le temps semble se rompre et les jours flottent sans fin. Quelque chose s’abat lentement sur la région. Dans ce deuil et ce brouillard, des étrangers sont vus. Qui sont-ils ? Que se passe-t-il ? (Maison 4:3)

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Vidéo (3)

Bande-annonce 2

Critiques (3)

Filmmaniak 

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français Un film stimulant sur le thème des esprits, ponctué par une histoire sur les habitants d'un village canadien perdu qui font face au suicide d'un jeune homme de vingt ans. Le film repose sur des images impressionnantes (bien que très modestes et austères) et sur la représentation d'une communauté mourante dans une campagne isolée et gelée. Bien que cette communauté se prétende solidaire et unie, en réalité elle n'est maintenue en vie que par les derniers vestiges de volonté dans un lieu déprimant où les morts occupent plus de place que les vivants. Après que la notion de temps ait perdu tout son sens pour la famille endeuillée par un événement tragique, le village commence effectivement à se remplir de fantômes et le film commence à fonctionner avec une certaine tension. Cependant, il ne faut pas s'attendre à un film d'horreur à partir de cette œuvre fragile et discrète sur les différentes formes de peur et le deuil suite à une perte. Il s'agit plutôt d'un concept simple de réflexion, transmis sous forme de métaphore visuelle. ()

Othello 

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anglais A terribly interesting thesis about the depopulation of the countryside due to the more tangible presence of its unresolved history represented by its dead. And everything is incredibly slow. In the best moments, the film even stops altogether. However, the omnipresent winter, mournfulness, incompleteness, and sense of loss would surely have worked better if the exposition had relied more on objects, location, and space than the characters themselves, but how can you fault a film that concludes the entire hundred minutes of quiet desolation with credits underscored by The Body's industrial noisemakers. ()

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J*A*S*M 

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anglais I submitted to the temptation of the horror elements. I’m a moron! This type of film is a plague of festivals. There’s no plot arc, it’s rather a simple thesis stretched to a weaker two hours, and it could be cut off at any time. There’s nothing more I can say about it. I was intensively uninterested in it already after ten minutes. #KVIFF2019 ()

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