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Au début des années 1970, la ville de New York étouffe sous la chaleur caniculaire. Sonny, Sal et Sheldon entrent dans une banque avec l’intention de la braquer. Mais inexpérimentés et mal renseignés, ils trouvent les coffres vides. Sheldon s’enfuit seul, contraignant Sonny et Sal à prendre les clients en otage. Ce qui devait être un simple hold-up tourne bientôt au drame. En effet, alors que Sonny s’attire la sympathie des otages, à l’extérieur la police et les médias encerclent les lieux. (LaCinetek)

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Critiques (12)

claudel 

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français Un film vraiment bizarre qu’il m’est difficile d’évaluer et encore plus de commenter. Al Pacino est depuis longtemps l’un de mes acteurs préférés et il fut un temps où il était mon numéro un. Je ne doute pas une seconde de la qualité de ses talents d’acteur affichée au cours de sa carrière entière, donc ici aussi, il offre une prestation à la fois hors normes et normale en ce qui le concerne. Et je suis d’accord avec le fait que John Cazale était tout aussi bon. Cela dit, j’éprouve envers ce film des sentiments partagés et ambigus ; peut-être est-ce la norme et le but avec Sidney Lumet ? Au début, j’ai eu un peu l’impression de voir une comédie, presque une parodie, sur le thème classique des cambriolages de banques, avant que le tout ne prenne une tournure plus sérieuse en donnant des pistes de réflexion. Le tout se termine en beauté… ()

POMO 

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français Un Pacino qui joue parfaitement dans un film de braquage au scénario banal. Ou alors, suis-je censé être captivé en tant que spectateur par le retournement de situation lorsqu'un jeune homme en peignoir entre en scène, pour lequel Pacino a changé de sexe ? Sa véritable épouse et surtout sa mère ne font que boucler ce cercle bizarre de personnages qui en font une comédie involontaire. La représentation du Brooklyn de l'époque dans la condition des États-Unis est admirable, mais en tant que drame humain, ce classique ne m'a pas séduit. ()

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DaViD´82 

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anglais An instruction video about how never under any circumstances to proceed during a bank robbery. Al Pacino excels in the main role, demonstrating all typical beginner’s mistakes. Mainly by completely outshining all the others with his performance. Which, in view of how interesting most characters are, is rather a shame; twice as much with respect to Cazale’s role. ()

Lima 

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anglais Definitely one of the best bank robbery movies. Not only the drama and the game about the lives of the hostages and the two criminals, but also a bit of a portrait of the times (with allusions to the unlimited power of unions in the States at the time, the power of the media, the Attica massacre and the then despised homosexuality). A de-facto reconstruction of a real case, where it turns out that the best stories are written by life itself – in the first half there are many twists and turns and absurd situations, and with the arrival of the FBI agent, a psychological struggle begins, where you can cut the tension and the whole thing is watched in one breath. The young Al Pacino was already phenomenal at the time, and the master of supporting roles John Cazale with his unreadable expression ably seconded him. Sidney Lumet made several gems, this is one of them, and along with the likes of Arthur Penn, he is one of the most underrated filmmakers of the 1960s and 70s in my eyes. ()

Malarkey 

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anglais One Wednesday morning, Al Pacino woke up as a bank clerk whose world had crumbled apart. He said to himself “screw it” and he decided to rob his place of work and to exchange the money for cigars, rum and a hut made of straw to sleep in in Cuba. He got himself two accomplices: one flees before the action starts and you feel sad about the other one – even more than you feel sad about the movie. After a botched robbery, the two criminals remain closed in the bank along with several employees, the bank is surrounded by about five dozen cops and the social survey of year 1975 starts. And since the movie stars Al Pacino in the leading role, you can bet that you won’t be bored. ()

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