Luciferina

  • États-Unis Luciferina
Bande-annonce 1
Horreur / Mystère
Argentine, 2018, 114 min

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Argentinean Gonzalo Calzada directs a visually explosive film where  religion, innocence, repressed sexuality and evil spectacularly collide. Natalia is a 19-year-old novice who reluctantly returns home to say goodbye to her dying father. But when she meets up with her sister and her friends, she decides instead to travel the jungle in search of mystical plant. There, instead of pleasure, they find a  world of Black Masses, strange pregnancies, bloody deaths and for the nun herself, a sexually violent clash with the Devil himself. (Artsploitation Films)

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Goldbeater 

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français Le travail d’écriture de Gonzalo Calzada s’articule autour d’une série de motifs et de personnages, desquels il a pu tirer un jeu horrifique intéressant. Le problème est que, à mesure qu’on avance dans l’histoire, tout se retrouve mis sur le côté, affaibli ou carrément annulé, tant et si bien que le film en perd tout son intérêt ! Par exemple, Natalia, l’héroïne principale, a le pouvoir de distinguer les gens qui ont une aura lumineuse de ceux qui ont une aura sombre, sauf que ça ne sert à rien puisque, plus tard, elle n’est pas capable d’identifier un personnage possédé par le démon car leurs auras sont toutes deux lumineuses (whaaat?!). L’ensemble tire en longueur et vire au kitsch dans les scènes les plus fortes (l’exorcisme de la fin s’opère d’une façon plutôt bizarre – au moins, c’est marrant). La conclusion nous offre une délirante promesse de deux suites (là encore: whaaat?!) qui, peut-être, éclairciront certains motifs non développés dans ce film. Cela dit, je ne sais pas si je serai toujours intéressé ! Quant à cet invraisemblable gamin généré par ordinateur qu’on voit au début et à la fin, dites-moi que c’est une blague ! [Sitges 2018] ()

Filmmaniak 

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français Une jeune et jolie religieuse a le don de voir les auras des gens, et après le suicide de sa mère, elle retourne chez sa sœur et son père blessé dans sa maison natale, où un ancien secret pourrit. Cependant, rien de tout cela n'est essentiel (les auras, le père, la mère, la sœur ou la maison avec son secret), car tous ces motifs sont jetés à la moitié du film (jusque-là, il ne se passe pas grand-chose et tous les éléments d'horreur n'apparaissent que dans les rêves et les hallucinations) et la deuxième moitié se déroule dans un tout autre lieu, où commence un voyage hallucinogène occulte impliquant le diable, l'exorcisme, les drogues et le sexe rituel, ce qui semble bien, mais est réalisé de manière confuse et fade (à l'exception des vingt dernières minutes environ). Le concept et l'histoire confus, pleins d'obscurités, sont couronnés par le fait qu'il s'agit probablement du premier volet d'une trilogie prévue, il est donc possible que beaucoup de choses reviennent et soient expliquées dans les prochains volets, mais cela joue malheureusement un rôle négligeable pour évaluer Luciferina. ()

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