Infección
Résumés(1)
Venezuela, de nos jours. Les graffitis anti-Maduro fleurissent partout sur les murs de la capitale, tandis que des ouvriers étrangers se détendent avec un shoot de krokodil, la drogue la plus dangereuse du monde. Le pays est dans le chaos le plus total, les flics ont la gâchette facile, les infrastructures publiques sont laminées et les gens crèvent en silence. Mais une épidémie de rage inconnue va chambouler le train-train quotidien de ce pays en ruines : brusquement, ce sera le chaos le plus total option pire, les flics auront la gâchette encore plus facile face aux civils contaminés, les infrastructures publiques seront tout simplement inexistantes, les gens crèveront en masse et en hurlant de peur, tandis que les exodes massifs de réfugiés se heurteront aux frontières fermées. Et, quelque part dans ce tableau apocalyptique, un père désespéré devra tout faire pour retrouver son fils… À la fois premier film de zombie vénézuélien et métaphore évidente de la crise majeure que traverse ce pays, Infection n’est rien d’autre que le miroir artistique d’une vindicte populaire, aussi violente que désespérée. Et, à ce titre, restez jusqu’au bout du générique final : ce qu’il révèle est affreusement éloquent sur l’état du monde d’aujourd’hui… (Brussels International Fantastic Film Festival)
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Critiques (1)
Nice thematic thing about the current situation. What surprised me the most, though, was the country of origin, that there is any filmmaking in bankrupt Venezuela, which, on top of that, also dares to be critical of the country’s political reality. That’s why I suppose that Mexico played a bigger production role. Otherwise, the film itself is an average and not very exciting contagion horror. As an exotic snack it’s acceptable, but not really worth recommending.
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