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Cinq inconnus se retrouvent dans une salle de cinéma hantée appartenant à un étrange projectionniste. Au fil de ces histoires terrifiantes, vous découvrirez leurs peurs les plus profondes et leurs secrets les plus sombres. Quitteront-ils ce cinéma de l’horreur sain et sauf ou est-ce leur dernière séance ? (iTunes FR)

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Goldbeater 

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français Alors que les anthologies d’horreur déçoivent généralement par la qualité inégale de leurs sketches, Nightmare Cinema ne fait pas mieux, mais pour la raison inverse : le film tourne inlassablement autour d'un niveau moyen. Le point faible de celui-ci, c’est son récit-cadre The Projectionist (Mick Garris) : Un projectionniste terrifiant (Mickey Rourke) attire des passants – pas tout à fait – au hasard dans son cinéma. Ce thème ne sert qu’à cimenter le tout et consolide un ensemble d’histoire par ailleurs sans continuité. Comme il n'y a rien d’autre que ce concept, on finit par se sentir floué(e). 30 %. Et voici les sketches individuels : The Thing in the Woods (Alejandro Brugués) : Une parodie intentionnellement alambiquée et légère des slashers « camping/maison de campagne » qui donne l’impression d’un certain éparpillement et qui mériterait une plus grande dose d’humour. Ça reste sympa malgré tout. 55 %. Mirari (Joe Dante) : Une fable simple avec un message élémentaire : « La chirurgie esthétique, c’est mal ! ». Grâce au charismatique Richard Chamberlain resplendissant dans le rôle du chirurgien sympathique mais diabolique et à la réalisation habile de Dante, ce sketch est probablement le plus correct du lot. 60 %. Mashit (Ryûhei Kitamura) : Une histoire sanglante stupide et creuse sur un carnage démoniaque dans une école catholique et un massacre d’enfants possédés. Le jeu des enfants-acteurs est plutôt mauvais. 40 %. This Way to Egress (David Slade) : La partie visuellement la plus intéressante. Affligée d’un certain trouble psychique, l’héroïne a une perception de son environnement terriblement déformée. Si ce sketch en noir et blanc était ne fût-ce qu’un peu plus sophistiqué, il serait le moment fort du film. 60 %. Dead (Mick Garris) : Dans les minutes qui suivent sa mort clinique après avoir été tué par balle, un garçon commence à voir des morts dans les locaux de l’hôpital. Mais ça n’a pratiquement aucune pertinence dans le cadre de l’intrigue, vu que le gamin va devoir affronter son tueur qui est venu l’achever. C’est un genre de mix entre Sixième Sens et L'Expérience interdite, sans aucune valeur ajoutée. 40 %. Dans l’ensemble, Nightmare Cinema manque de légèreté et d’humour, certains sketches se prenant nettement trop au sérieux. À choisir, j’ai une petite préférence pour Trapped Ashes et sa thématique similaire. [Sitges 2018] ()

EvilPhoEniX 

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anglais In the end, this anticipated anthology is just an average. The first short story by Alejandro Brugués (Juan of the Dead) is a parody of camp slashers with proper gore, decent make-up effects and an unexpected ending, but is marred by amateurish performances, ear-splitting dialogue and a great deal of naivety. The second story is by Joe Dante (Gremlins) and unexpectedly it is the best. It deals with a twisted plastic surgeon who is commissioned by his fiancé to fix her face. Great make-up effects, plenty of tension and a decent twist. 75%. The third story by Ryuhei Kitamura (The Midnight Meat Train) is a splatter in a Catholic school with possessed kids. Decent gore, a sexy nun, but again, it's marred by unconvincing performances and it's pretty overwrought. 60%. The fourth story is by David Slade (30 Days of Night) and is surprisingly the weakest. It's in black and white and is about a woman who wanders corridors and sees disfigured people. Again, decent make-up effects, but very uninteresting and rather boring. 50%. The fifth story, by Mick Garris (Sleepwalkers), is a chase on the grounds of a hospital where a psychopath goes after a little boy who also sees the dead. Probably the second best story with plenty of suspense and a dose of violence. 65%. Rather disappointing in the end. I definitely enjoyed the gore that features in almost every story, but it's very poorly and unconvincingly acted and the back story isn't worth much either. It was alright, but given the cast of directors, more could have been made of it. 60% ()

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