Domino - La guerre silencieuse

The art of leaving on time, unfortunately, is not common to everyone and it is understandable that Brian De Palma wanted to say goodbye to the genre he dedicated himself to and has immense experience in. Unfortunately, both the script and, more painfully, the direction fail in perfect harmony here. The film is not bad enough to discourage you from watching it, let alone so disastrous that it is entertaining in its incompetence. It is one of those cases where you say to yourself when watching the last scene: "God, I wasted my time again." It wasn't worth it. The main protagonist, a police officer, immediately proves himself to be a fool in the first scene, only to demonstrate an incomprehensible short circuit in the second scene that should cost him his job immediately, and probably even lead to criminal prosecution. There is no point in elaborating on the cheap production, poor editing, and camera work. Overall impression: 25%. (18/11/2022)

Nikolaj Coster-Waldau incarne un flic assez incompétent qui oublie chez lui son arme de service et laisse ses collègues blessés sans premiers soins avant de se lancer sur la piste de terroristes islamistes. Plutôt que d’avoir un rapport avec le thème hétéroclite, le nom Domino évoque avant tout le scénario de Petter Skavlan qui n’arrête pas de s’écrouler d’un côté ou de l’autre. Côté réalisation, ce thriller est totalement routinier et constitue véritablement un pas en arrière pour Brian De Palma. L'étrange fascination du réalisateur par laquelle il doit faire la démonstration de la menace terroriste m’a amplement suffi dans Redacted et devient, ici, franchement épuisante – surtout quand il montre un double attentat dans un festival de cinéma à Amsterdam. J’aimerais juste savoir si ces créateurs ont essayé de communiquer autre chose et non pas simplement de choquer les fans (en particulier les Néerlandais) qui se rendent aux festivals de cinéma européens dans lesquels ce film-ci n'est pas programmé. Un terrible coup dans l’eau. (08/01/2020)