Čiara
Межа
Čára
Réalisation:
Peter BebjakScénario:
Peter BalkoPhotographie:
Martin ŽiaranMusique:
Slavo SolovicActeurs·trices:
Tomáš Maštalír, Emília Vášáryová, Eugen Libezniuk, Andrej Hryc, Zuzana Fialová, Stanislav Boklan, Oleksandr Piskunov, Rimma Zyubina (plus)Résumés(1)
Adam Krajňák est le chef intransigeant d’un gang criminel qui fait passer des cigarettes en contrebande à travers la frontière ukraino-slovaque. Mais, en cette année 2007, la coexistence pacifique des deux mondes entrelacés est perturbée par la construction de la frontière de l’espace Schengen – ce qui va, pour les contrebandiers, occasionner un certain nombre de problèmes quant à l’avenir de leurs affaires. Un jour, un chargement n’atteint pas sa destination et Krajňák se trouve alors face à un dilemme : va-t-il franchir encore plus de limites ? (Czech-In Film Festival)
(plus)Critiques (6)
Un drame dense avec une représentation saisissante de l'emplacement géographique et de sa culture sociale (la Slovaquie est tout simplement les "Balkans du Nord"). Surtout grâce à une caméra et une musique exceptionnelles. Le développement des personnages est un peu en retard par rapport à cet aspect formel, certains conflits et relations auraient besoin d'être approfondis, mais pour une expérience cinématographique finale relativement sombre, c'est suffisant.
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In 2017 the Slovaks truly surpassed us in the quality of filmography. The Line is quite rough, cynical, uncompromising and emotionless, but it has an interesting premise and a great, gloomy thriller-like interpretation that we in Czechia are incapable of filming. Hats off, Slovaks. With this film you truly showed what is in you. Peter Bebjak and Tomáš Maštalír are the best your country has to offer!
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An interesting film from the border region. There is something appealing about the idea that the whole region is controlled by a family led by Milka Vášáryová, but the believability of course falls very short. And so The Line remains just an interesting excursion into the nearest Eastern cinema.
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Défi ciné 2018 : la Slovaquie. Légère déception, parce que je m’attendais à une expérience grandiose et qu’après une entrée en matière décente et prometteuse, le film n’a fait que tomber toujours plus bas jusqu’à s’enfoncer dans un genre d'embrouillamini final, un peu comme si le scénariste s’était égaré dans une impasse sans ne plus jamais pouvoir en ressortir. Tomáš Maštalír semble sortir tout droit de la série Za sklom et le personnage incarné par Andy Hryc n’aurait pu mieux lui convenir. Mais dans l’ensemble, bof bof.
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I was only half satisfied. The film’s biggest problem was that all the characters were so negative that I didn’t care what would happen to them. That is, if it was to be something bad. The ending fell totally flat, which is a shame, the premise had a decent potential and deserved a better execution.
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A Slovak attempt at a mafia film, which worked quite well, but it has to be said that there are elements that bring it down a bit. First of all, it doesn't take itself too seriously at times, which is too bad, because it would have benefited from a much darker concept, and in places I wouldn't have minded if the attempt to approach American mafia films had disappeared.
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