St. Agatha

Bande-annonce 1

Résumés(1)

What first starts out as the perfect place to have a child for Agatha turns into a dark layer where silence is forced, ghastly secrets are masked, and every bit of willpower she has is tested as she learns the sick and twisted truth of the convent and the odd people that lurk inside its halls. (Popcorn Frights Film Festival)

Critiques (3)

J*A*S*M 

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anglais I don’t understand why there’ve been so many one-star ratings at the beginning, St. Agatha is not that tragic. That lowered my expectations a lot, and I waited throughout the film for the moment when things would get so unbearable, but somehow it didn’t happen. Surely, the film won’t get an Oscar for its screenplay, but worse atrocities can be found in the horror waters. This time, Bousman delivers at least flawless craftsmanship, as well as solid performances (mainly, the evil nun) and an atmospheric score. So, compared, for instance, with the atrocious 11-11-11, Agatha is a winner on all fronts. Plotwise, it’s stupid both in the details and as a whole, but show me one sophisticated nunsploitation movie. On the other hand, when I think of it as a parable of a community that a higher power cut off from funding and had to find a new model to operate, I think it does have some basis for meaningful content. But I don’t want to give the impression that I’m praising the film – my rating is around five points out of ten – but I feel that the other reviewers so far maybe didn’t sleep well before the screening and have been way too strict. ()

Goldbeater 

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français Au début, St. Agatha a l’air intéressant, mais avec chaque minute qui passe, il perd progressivement tout son sens. L’intrigue accumule des motifs plus ridicules les uns que les autres et les scènes sont souvent tellement insensées qu’on se demande à quoi elles peuvent bien servir ! En fait, ça donne l’impression que l’écriture et le montage ont été refaits à de multiples reprises (et ce n’est peut-être pas par hasard qu'il y a eu quatre scénaristes !). Par exemple, de nombreux flashbacks révèlent le passé du protagoniste, mais ceux-ci ne mènent nulle part et ne contribuent pas le moins du monde à l’intrigue qui suit. Les personnages sont complètement superficiels et se limitent juste à des nonnes sadiques et sinistres et à des victimes naïves ; ils n'ont aucune profondeur et rien ne surprend. Quant au plan d’évasion final de l’héroïne principale, ce n’est qu’une insulte au spectateur qui espérait un dénouement au moins un peu décent. [Sitges 2018] ()

Filmmaniak 

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français Un film d'horreur stupide et mal réalisé, avec une idée de départ absurde (des nonnes surveillant des filles enceintes et se souciant de la naissance de bébés en bonne santé, mais n'hésitant pas à les torturer et les mutiler pendant leur grossesse juste parce qu'elles tiennent à un « régime strict »), qui interrompt et prolonge inutilement les événements dans une maison de soins par des scènes du passé de l'héroïne principale sans que leur existence soit suffisamment justifiée. Les personnages se comportent de manière illogique selon ce que le scénario leur dicte, de sorte que les religieuses entendent chaque bruissement à un moment donné, mais sont comme sourdes et aveugles à d'autres moments. Le dénouement est terriblement naïf, voire ridicule. Seule Carolyn Hennesy mérite d'être mentionnée pour son interprétation aimablement démoniaque de la mère supérieure, mais les autres n'ont malheureusement pas grand-chose à jouer en raison du manque de profondeur de leurs personnages. ()