Massacres dans le train fantôme

  • États-Unis The Funhouse (plus)

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Deux jeunes couples d'amis décident de passer une soirée à la fête foraine qui vient juste de s'installer dans la région. Après avoir fait le tour de quelques attractions, ils se lancent le défi de passer la nuit dans le train fantôme. Une fois à l'intérieur, ils assistent à un meurtre brutal commis par un homme portant un masque du monstre de Frankenstein. Devenus des proies et piégés dans l'attraction, ils vont bientôt découvrir l'abomination qui se cache sous le masque du tueur. (ESC Distribution)

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Goldbeater 

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français Un slasher modéré de Tobe Hooper qui se déroule dans un parc d’attractions et qui vous dissuadera de monter sur les trains fantômes – surtout quand ceux-ci sont physiquement déformés. Dans les premières minutes, Massacres dans le train fantôme démarre sur une note plus ou moins ludique avec un clin d’œil à Halloween et à Psychose. Malheureusement, il ralentit ensuite et il faut attendre une bonne moitié du film avant que des scènes d’horreur ne se produisent – des scènes qui, en outre, n’apportent rien de neuf et de révélateur pour l'époque (1981). C’est que Hooper a des œuvres nettement plus divertissantes à son catalogue. Mais ce qui est marrant, c’est que, malgré l’absence de gore et le niveau soft du contenu, ce film s’est retrouvé sur la liste des « video nasties » et, qui plus est, par le plus pur des hasards : la censure britannique a confondu son titre original, The Funhouse, avec The Fun House (Last House on Dead End Street), celui qu’ils avaient réellement prévu d’ajouter à la liste. Bande d’amateurs ! ()

Lima 

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anglais Up until now, I thought Tobe Hooper was the creator of only one great movie, but proved my wrong with this one. Quentin Tarantino adores it and praised it in his book, and I'm not surprised. Funhouse is basically the concept of The Texas Chainsaw Massacre (a murderous family), transposed to the setting of a carnival. Visually impressive, atmospheric, where the genius loci of the House of Horrors is exploited to the max. Perhaps only the mask of the main villain is like something out of a stupid cheesy B-movie, otherwise maximum satisfaction for me. And Elizabeth Berridge is fantastic here, especially in the tense ending. ()

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