Ilsa, She Wolf of the SS

est un célèbre scandale, mais il n'est pas du tout aussi choquant que proclamé. Il y a beaucoup de sexe, de manière ouverte, mais la violence et le sang ne sont pas vraiment bien représentés en grand nombre. La raison en est que le film lui-même est terriblement naïf, amateur et ennuyeux. Les mauvaises performances d'acteurs et la réalisation incompétente empêchent de s'attacher à la protagoniste ou aux personnages secondaires de l'autre côté des barricades, et en termes d'atmosphère, il règne un vide dans la cour du camp. Du point de vue du scénario, le film est acceptable - une durée raisonnable et une densité de violence et de sexe suffiraient pour une bonne dose de divertissement dépravé. Mais il aurait fallu que quelqu'un de plus compétent le réalise. (10/01/2003)

“I love you! You need to empty yourself on me!” It’s hard to dedicate something to the victims of the Holocaust while holding your penis in your hand, Mr. Edmonds. His Fifty Shades of Shoah might be intriguing for connoisseurs who strangle their wife with the garter belt of the Luftwaffe’s top commander during sex at home, but I found it affected, occasionally unintentionally funny, and surprisingly dull given the subject matter. The developed camp leader reminded me a bit of Major Houlihan from *M*A*S*H*, perhaps because she was looking for Donald Penobscott, who digs tunnels (not for escape purposes). (24/04/2023)

This is one of those movies where you get exactly what you expect. It's a B-movie, essentially low-budget, but it's not as brutal as some Chinese or Japanese pieces. It's actually quite restrained, which allows the viewer to focus on the excessive nudity, and yet it remains modest. It's not a shocking film, but for fans of debauchery, it's still entertaining. (02/07/2014)