The Curse

  • États-Unis The Farm (titre de travail)

Résumés(1)

A tale of a young boy's fight to keep his family from being possessed by demonic alien parasites. (texte officiel du distributeur)

Critiques (2)

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Goldbeater 

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français Faiblard. Le début s’étend comme la traînée de cette météorite tombée dans la cour de villageois peu sympathiques – même qu'on meurt d’envie de les voir se transformer en mutants cosmiques dès le début. Le reste du film ne parvient pas non plus à construire une gradation suffisante pour captiver le public. Et ça se traîne jusqu’au bout, y compris dans le dénouement ! Pourtant, l’œuvre originale de H. P. Lovecraft est très porteuse et parmi les producteurs du film, on retrouve Louis Fulci (oui, il s’agit bien de CE Fulci-LÀ !), ce qui laisserait penser que le tout était dans de bonnes mains. Mais ça, c’est sans compter sur le fait que les aspects principaux du processus de création ont été confiés à des amateurs. Le scénario a été pris en charge par David Chaskin, lequel n’avait rien écrit d’autre que le deuxième volet de la saga Freddy (sans aucun doute le pire numéro de toute la série et un film outrageusement mauvais). C’est l’acteur David Keith qui s’est chargé de la réalisation – son premier film dans cette fonction (et en aucun cas le plus illustre). Quant aux acteurs et leur jeu rigide, on va s’épargner de les mentionner. Mais pour avoir des effets spéciaux si pitoyables en 1987, notamment avec un fil qu’on voit distinctement attaché à la météorite miniature, c’est assez honteux et une chose qu’on aurait pardonnée pour une production datant au maximum des années 50. En gros, ce film d’horreur est insatisfaisant à tous les niveaux. ()

Gilmour93 

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anglais The adaptation of Lovecraft's story, ending with a rather devastating finale, fully embodies the phrase "what happens in the 80s, stays in the 80s." A cast that smells like hay, with a standout bigoted despot in overalls and his bloated son in a football jersey, ominous music interrupted by an obscure banjo, decent prosthetics, and two genuinely terrifying scenes. The first, shot from a low angle as the father carries his contaminated mother into the cellar, and before that, the root cause of it all: lust and debauchery with a sweaty primate by the winch. I get that dry rolls for breakfast don’t mean a dry lap, but don’t be surprised by divine punishment! Let's admit, without the unhinged Cage, those colors from space somehow lose their vibrancy. ()