American Sniper

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Bande-annonce 1
États-Unis, 2014, 133 min

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Tireur d'élite des Navy SEAL, Chris Kyle est envoyé en Irak dans un seul but : protéger ses camarades. Sa précision chirurgicale sauve d'innombrables vies humaines sur le champ de bataille et, tandis que les récits de ses exploits se multiplient, il décroche le surnom de "La Légende". Cependant, sa réputation se propage au-delà des lignes ennemies, si bien que sa tête est mise à prix et qu'il devient une cible privilégiée des insurgés. Malgré le danger, et l'angoisse dans laquelle vit sa famille, Chris participe à quatre batailles décisives parmi les plus terribles de la guerre en Irak, s'imposant ainsi comme l'incarnation vivante de la devise des SEAL : "Pas de quartier !" Mais en rentrant au pays, Chris prend conscience qu'il ne parvient pas à retrouver une vie normale. (texte officiel du distributeur)

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Critiques (10)

POMO 

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français Cooper vise haut, il veut la reconnaissance et les Oscars. Et il a évidemment attiré Eastwood avec un salaire élevé. Sinon, Clint ne serait pas entré dans le projet, le scénario n'offre pas autant d'espace pour son talent de conteur (les scènes émotionnelles avec sa femme pourraient être faites par n'importe qui). La simplicité et la franchise du film, qui ne apporte rien de nouveau sous le casque et s'appuie uniquement sur le potentiel du destin réel de Chris Kyle, d'un côté réjouit (le film est captivant sans exiger trop du spectateur), mais d'un autre côté, il ne mérite pas d'Oscars en raison de l'utilisation de clichés et de l'absence de particularité (ce que possédait The Hurt Locker, qui était construit de la même manière mais moins prévisible). À moins que l'Académie ne veuille pas admettre ouvertement que c'est plus sur la politique que sur les films. La scène d'action centrale (le boucher+perceuse+garçon) est habilement montée. En revanche, la deuxième moitié a besoin d'être raccourcie. ()

claudel Boo !

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français Une belle saloperie propagandiste ! J’ose affirmer que même mes copains de classe qui ont échoué au bac remarqueraient que les choses sont présentées de façon absolument partisane. J’espère que Clint Eastwood s’est assis avec McCain et les autres cinglés républicains, qu’ils se sont unis bras dessus, bras dessous, qu’ils ont mis la main sur le cœur et qu’ils ont déclaré à quel point les Américains étaient les plus braves, les plus combatifs et les plus légendaires, qu’ils n’avaient que de bonnes intentions et qu'ils propageaient la démocratie dans le monde. Parce que pour moi, quelqu’un qui tue cent soixante personnes n’est pas un héros, peu importe les circonstances. Pour moi, les héros, ce sont Médecins sans frontières, les gens qui s’efforcent de recoller les morceaux après les conséquences d’une guerre, mais certainement pas ceux qui en créent. Ce genre de clichés pourris où l’on peut couper le son des scènes soi-disant tendues et doubler les dialogues de chaque personnage ne valent pas la peine d’être vus et encore moins d’être récompensés. American Sniper est encore un cran plus mauvais que le soporifique Foxcatcher. Et moi, je perds encore plus ma motivation de regarder les films nominés aux Oscars cette année, parce que c’est un défilé de merdes, avec seulement The Grand Budapest Hotel et Imitation Game comme candidats respectables. ()

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3DD!3 

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anglais Biography of the sniper from Texas, Chris Kyle, who had about 150 kills scratched into his rifle stock. Eastwood has become a hitmaker in his latter years (90 million views over one weekend!) and a very moderate war movie director. Not so many kills as such, they are restrained, realistic and not even Kyle is counting (he’s so cool). Probably because we all know what a farce Iraq was, there’s no delving into politics. Simply a classic pursuit movie with ragheads with a polite duel going on in the background. The picture pretends that sniping itself isn’t playing the main role, but in fact it’s a conflict with Mustafa and the hunt for Butcher that help the viewer differentiate between the separate tours. The classic development of the Navy Seals and is all too familiar, thank you very much Eastwood for presenting it in more entertaining form. Cooper is very convincing in his transformation from man to robot and back again, at crucial moments he doesn’t act like a hero, but like a psychopath. His dead soul is visible in his cold blue eyes (that’s why Kyle wears sunglasses almost all the time). Movies like Hurt Locker don’t have this, that’s probably why this movie works much better. Emotions come across artificial, but on the other hand the finale works well, sad, even though the main message becomes a little blurred. P.S.: I’m a great fan of the Punisher, so I seriously enjoyed the scene about the “graphic novel". The armor and magazines with the skull stencil looked damn good. Hooyah! ()

Malarkey 

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anglais The film is divided into two parts. One takes place in Iraq and the other in the homeland. Leaving aside the fact that Bradley Cooper plays his role with absolute precision, I must add that everything else is just plain wrong. There is very little going on in Iraq. There are a few key scenes here, but that’s definitely not enough for a good film. Take the first scene, for example. It is a masterpiece in and of itself. However, the two parts intersect in the most suspenseful moment and suddenly Clint makes a cutto the protagonist’s past life in the States. The tension rapidly drops and we’re left with no choice but to watch why Chris left for Iraq to begin with. After a while, the pace picks up and you suddenly realize this movie has zero emotion. Chris is in America, then in Iraq, then returns to America and ends up in Iraq again. All of this with no emotions, unlike in Hurt Locker which worked pretty well in this respect. Here I had a problem watching it to the end. Simply put, I was disappointed. I expected American Sniper to be something in the vein of contemporary war films such as Hurt Locker or Jarhead, but what I got was a completely routine job, which engages neither with its story nor with the locations. ()

Isherwood 

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anglais Eastwood's precise shot, which is likely to be mistaken for pathos when defending the American way of thinking, stands out above all. This is due to the fact that, despite a significant part of the runtime being spent on the battlefield, it manages to retain a civilian atmosphere, rather giving Kyle's extraordinary "skill" lip service because, at his core, the protagonist remains that pure American redneck who, in Cooper's excellent, paunchy Texan delivery, blathers on about defending the country, and yet you know he means it with unapologetic sincerity; its length and the empty brothers storyline are the only things that the film can be faulted for. Even J. Edgar wanted to look like this. ()

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