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La troublante Mary Brady et son fils Charles s’installent discrètement à Travis, une tranquille petite localité de l’Indiana. Des nouveaux résidents semble-t-il ordinaires sauf que, cette fois, les apparences sont trompeuses : ces deux-là sont les derniers représentants de la race des félidés, des créatures monstrueuses qui ne peuvent survivre qu’en buvant le sang des vierges. Très vite, Charles Brady jette son dévolu sur Tanya Robertson, une belle lycéenne à laquelle il prend le risque de révéler sa véritable nature… (BQHL Éditions)

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Critiques (3)

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Goldbeater 

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français Au début des années 90, Stephen King pouvait profiter du fait que les maisons d’édition et les boîtes de productions lui mangeaient dans la main. C'est ainsi qu'il lâcha à nouveau la bride à ses élans de graphomanie en rédigeant, sans vergogne, le scénario de La Nuit déchirée. L’histoire centrale est un duo de créatures ressemblant à des vampires, sauf qu’au lieu de sucer du sang, ils se nourrissent d’énergie vitale et qu’au lieu du soleil, c’est un genre de félidé qui met leurs vies en péril. Par ailleurs, ils se livrent à des ébats incestueux et possèdent le don d’invisibilité, non seulement pour eux-mêmes, mais également pour leur énorme voiture. Ce film est un véritable méli-mélo qui, en tant que tel, n’a ni queue ni tête et qui, si on creuse un peu, se désagrège totalement. Néanmoins, il a un charme branquignol indéniable. Reconnaissons que Mick Garris est parvenu à orchestrer ce thème pourtant bancal avec un certain brio et, notamment grâce au recrutement de Mädchen Amick, le tout se laisse regarder. Ma scène favorite est le caméo de M. King lui-même qui, dans le rôle d’un responsable de cimetière curieux, se fait rejeter par Tobe Hooper puis par Clive Barker. D’autres acteurs font une apparition, à savoir John Landis, Joe Dante et Mark Hamill. Mick Garris a su créer des équipes de rêve ! ()

Gilmour93 

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anglais Imagine being a shape-shifting creature with superhuman strength that feeds on virgins, controls telekinesis, can make things invisible, and in an instant, changes a blue Pontiac into a red Mustang, and yet, all of that is useless to you. On one side, there are questionable special effects, tragically comical acting performances (including cameos from Skywalker and an author writing directly for a film for the first time), and a slightly exaggerated action finale where the werecat mom destroys the cars of the local retarded police force with revolver shots. On the other side, there's the unmistakable charm of the '90s, making my enjoyment feel guilty. ()

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